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 Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.

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MessageSujet: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 16:50

Introduce Myself¤

Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. Policebadge



Nom:Hölderlin
Prénom:Thomas
Âge:23 ans
Lieu de naissance:Sandershausen, Allemagne
Occupation:Policier


Dead To The World¤



    Qui était-il?!
    12 Mai 1915


    Courir.

    Toujours courir.

    Plus vite.

    Ne pas regarder en arrière.

    Fuir.

    Survivre.

    Nous sommes en 1915, la Première Guerre Mondiale fait rage. Levy Cohen, jeune juif polonais de 19 ans vient d’échapper au raid qui a eut lieu dans l’appartement sur Szeroka dans lequel il se cachait depuis quelques semaines. Dans ses bras, il serre fortement un paquet comme si sa vie en dépendait. Seulement, ce n’est pas le cas. Sa vie dépend de la chance. Elle dépend aussi des Allemands qui le pourchassent. S’ils sont assez stupides, ils croiront qu’il est toujours là et ils chercheront encore longtemps. Elle dépend de la course qu’il effectue. Se rendra-t-il à l’abris à temps?

    La réalité, c’est que ce paquet est un poids. Il le ralentit. Il pourrait lui être fatal. Mais Levy ne peut se résoudre à le laisser. Même si cela lui réserve le même sort que les goï qui l’ont garder. Alors il court, le serrant dans ses bras. Toujours plus fort. Pour le protéger.

    Alors qu’il se cache dans la fourrer, s’enfouissant sous la terre boueuse de cette journée pluvieuse, il entend des bruit de pas. La peur lui noue l’estomac. Sa respiration s’accélère. Il se met à prier pour que dans les couvertures qu'il tient, le bébé ne se mette pas à pleurer. Pourtant, ce dernier se contente de le regarder de ses grand yeux bleu clair, comme s'il comprenait le drame qu'il venait de se passer. Comme si malgré ses quelques mois, il connaît son nouveau statut d'orphelin. Il comprenait que le moindre bruit lui réservait le même sort que ses parents.

    Alors qu'il passe une main dans son court duvet blond, faisant une pause sur sa joue alors que le petit garçon le regarde en souriant, Levy n'a qu'une certitude. Peut importe les épreuves que la guerre mettrait sur son chemin, il le protégerait. Il allait se battre. Qu'on essaie de lui enlever son identité, sa religion, sa famille passait encore. Mais que l'on s'attaque ainsi à de pauvres bébés, c'était trop. Il allait se battre comme jamais il ne s'était battu dans sa vie. Mais pour l’instant, il veut seulement se reposer.

    Fermer les yeux quelques secondes.

    Dormir.

    Non!

    Il doit absolument garder les yeux ouvert.

    Les pas se rapprochent toujours. Il s’enfonce encore plus dans la boue, essayant de se soustraire à l’inconnu. Son corps forme une ombre au dessus d’eux. Levy ferme les yeux et amène le bébé un peu plus près de lui. Cette fois, il prit pour que l’ombre menaçante épargne ce gamin qu’il a sauvé après le meurtre des parents de ce derniers. Ce n’est pas son fils, mais déjà, un lien s’est formé entre eux. Ils sont tout ce qu’ils ont.

    Lorsqu’il ouvre les yeux, un vieil homme se trouve devant lui, debout. Il a une cinquantaine bien tassé, des cheveux blancs comme la neige et une barbe toute aussi blanche. Levy se tend et le bébé se met à pleurer pour la première fois. Soudain, l’aîné tend la main vers Levy, une lueur bienveillante dans le regard. Le jeune homme hésite, puis il prend la main. L’homme l’aide à se relever.

    « Je suis Aaron du Mouvement de Libération Juive. Viens avec moi. »

    1 juillet 1920


    La Première Guerre Mondiale est terminé depuis quelques temps déjà. Un petit garçon blond aux yeux bleus pénétrant regardant devant lui. Ses yeux sont humides. Son petit pyjama bleu sur lequel de petits moutons flottent sur des cirrus blancs est tout trempé de pluie. D'une main, il tient un petit ours en peluche tout défait. De la mousse blanche s'échappe de ses fesses et il n'a qu'un oeil, l'autre ayant complètement disparu. Dans son autre main, il tient une lettre qu'il est bien incapable de lire. Cette dernière se trempe un peu puisque malgré la réapparition du soleil, le jeune garçon dégoûte toujours. On vient de retrouver son père adoptif. Il ne le verra jamais plus. Il comprend la mort, elle a frapper si souvent. Alors il pleur. Il est vraiment orphelin maintenant. Il n’a plus personne. Autour de lui, le groupe de résistance dont Levy faisait partit s’affère autour. La guerre est terminé. Ils n’ont plus raison d’être. Le jeune garçon ne les voie plus. Ne les entend plus. Il ne voie que la forme indécise de son père adoptif. Ce dernier le regarde, lui sourit tendrement et disparaît. Pendant encore plusieurs années, l’enfant apercevra cette ombre lui sourire. Et doucement, tranquillement, elle allait devenir de plus en plus flou à mesure qu’il oubliera son visage. Mais jamais la lettre d’adieu qu’il tient dans sa petite menotte ne le quittera. Derrière lui, Aaron de son vrai nom Zimri Kaganovitch mit une main sur son épaule. L’un a perdu ses parents, l’autre ses enfants et petits enfants.

    Roman,
    Si tu reçois cette lettre, c’est que la guerre est terminé mais que je n’ai pas survécu. Ne pleurs pas mon amour. Je suis mort libre. Je suis mort pour une cause juste. Je suis mort pour eux. Je suis mort satisfait d’avoir fait tout mon possible pour un avenir meilleur. Dans l’un de ses livres, William Shakespeare s’exclame ainsi : « Mourir en combattant, c'est la mort détruisant la mort. Mourir en tremblant, c'est payer servilement à la mort le tribut de sa vie. » Je suis mort en soldat. Alors ne pleurs pas mon amour. Garde tes larmes pour tes premières peines d’amour. Garde tes larmes pour tes fils. Garde tes larmes pour des évènements qui en valent la peine.

    Sourit. Sourit. La guerre est terminée. Sourit. Ma mort ne sera pas en vain. Vit. Je suis mort, mais tu es en vie. Profite en. La vie est courte. Fait de la tienne une réussite. Vit ta vie. Sois heureux. De nombreux obstacles se mettront au travers de ton chemin. Ne te laisse pas arrêter par eux. Un jour, nous nous reverrons. Que se soit au paradis ou dans une autre vie, nous nous reverrons. Je t’en fais la promesse.

    Avec amour,
    Ton père, LC



    Ce que lui a apporté sa vie antérieur:
    Avant d’aller en mission pour le Mouvement de Libération Juive, tout agent potentiel doit se soumettre à un entraînement intensif mêlant technique de combat, résistance à la torture mentale et technique d’espionnage. Le juif démontra une grande adresse dans le combat, ayant fait de la boxe dès qu’il était capable de marcher, son père et son grand-père étant professionnel de boxe. De cet entraînement intensif qui dira plusieurs années – Levy n’avait été espion que pendant les 3-4 dernières semaines de la Première Grande Guerre – Thomas possède toujours cette habileté au combat que possédait sa vie antérieur.

    Ce qu'il/elle pense de la réincarnation:
    « Un jour, nous nous reverrons. Que se soit au paradis ou dans une autre vie, nous nous reverrons. Je t’en fais la promesse. » Thomas était très sceptique sur le phénomène de la réincarnation. Pour lui il s’agit d’une croyance comme une autre et que certaines personnes utilisent pour combattre leur peur de la mort. Tout récemment pourtant, certain événements étranges qui se sont produisent chez lui pourrait lui faire reconsidérer la question. Et ces mots qu’il a lu; « Une jour nous nous reverrons ». Il aime bien l’idée de retrouver les gens qu’il aime après sa mort.



Citation du titre par Adrien Therio


Dernière édition par Thomas Hölderlin le Mar 25 Aoû - 20:48, édité 2 fois
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Enaëlle Van Horn

Enaëlle Van Horn


Disponible pour un topic? : Euh..
Date d'inscription : 12/08/2009

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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 18:07

Super, mon policier adoré !!

Si tu as besoin de la place, je supprimerais mon message.
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MessageSujet: Thomas Hölderlin - Suite   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 19:14

Born To Be Alive¤


    Enfance&Adolescence:

    Thomas est née dans un quartier de classe moyen de Sandershausen en Allemagne il y a vingt-trois années. Il a un grand frère, Markus , qu’il a peu connu puisque ce dernier avait déjà 18 ans et avait quitter la maison pour aller étudier à Berlin. Ce dernier était le fruit d’une union précédente entre Volker, le père de Thomas et une certaine Gretchen, morte lorsque son fils avait 5 ans. Après plusieurs années de deuil, il rencontra Elke qu’il épousa lorsque Markus avait 15 ans. Trois ans plus tard, elle tomba enceinte et accoucha de deux jumeaux; Thomas et Elsa.

    Lorsqu’ils ont cinq ans, alors qu’elle se baignait dans le Wipper avec son frère sous la surveillance d’un maître-nageur inattentif, Elsa passe proche de se noyer. Après cet événement où Thomas réussit tant bien que mal à sauver sa sœur, ce dernier est très protecteur envers elle. Cette état de protection les poursuit toute leur adolescence si bien que lorsque le choix de l’université arrive, la jeune femme choisit d’aller étudier à Paris, le plus loin possible de son frère qui sans le vouloir l’étouffe. Depuis, ils ne se voient que très rarement puisqu’elle a épouser un français; Marc.

    À l’école, il est un élève calme avec des notes dans la moyenne. Contrairement aux autres garçons de son âge, il ne se bat pas. À moins que ce soit pour se défendre ou pour garantir la sécurité de sa sœur. Rapidement, il se rend compte qu’il a du talent pour se battre. Malgré ses vingt kilogrammes tous trempé, et sa petite taille, le garçon de sept ans est capable de se défendre contre deux ou trois plus vieux. Malgré les réserves d’Elke, Volker décide d’inscrire son fils à des cours de boxe, puis de karaté et bientôt, le jeune Thomas se passionne pour les arts de combats. Et plus il grandit, plus il avance.

    À l’adolescence, il laisse tomber pour se concentrer sur les combats de rue. Il se fait rapidement une réputation de combattant et il se hisse dans le haut de la chaîne alimentaire qu’est la rue. Alors que son entourage abandonne tout espoir de le remettre dans le droit chemin, Thomas rencontre Andreas, policier à qui il ne restait que quelques années avant la retraite. Il prend le jeune allemand sous son aile et l’amitié qui a tôt fait d’unir l’aîné et l’adolescent de 16 ans donne envie au combattant de la rue de devenir quelqu’un. À bout de discussion, Andreas amène Thomas à se questionner sur son avenir. Alors que le plus vieux prend sa retraite, le plus jeune entre dans l’université. En sortant de l’école, Thomas exerce un peu dans la police de Sandershausen avant d’aller rejoindre son mentor à Chatam Island où ce dernier coule des jours heureux.

    Juin, quelques années plus tôt

    Thomas vient de terminer sa première année à l’université et avec un groupe d’étudiant, il se rend à Chatam pour deux semaines, histoire de s’amuser un peu avant de commencer à travailler pour l’été. L’île avait surtout été choisis à cause d’Andreas qui acceptait volontiers de leur prêter la maison. Cette alternatif étant moins dispendieuse qu’une semaine à l’hôtel, le petit groupe avait choisit d’aller en Nouvelle-Zélande. Dès son arrivé, il rencontra Alina Poetry, une autre étudiante. Ils deviennent rapidement amis et bientôt, Thomas tombe amoureux de la jeune étudiante. Trop timide pour faire les premiers pas, leur histoire n’évolua pas. Ce n’est que dans l’avion en partance pour l’Allemagne que le futur policier se dit qu’il aurait dû dire quelque chose.

    Juin, de nos jours
    Un sac à dos sur l’épaule, Thomas débarqua à l’aéroport de Chatam. Il observa la foule à la recherche d’un visage familier. Plus loin, un vieil homme faisait la même démarche, essayant d’éviter les gamins qui tournaient autour de lui. Mais où étaient donc leurs parents ? Ne les surveillaient-ils pas ? Enfin, il le vit, près de la porte d’embarquement et se mit à lui faire de grand signe de bras. Thomas le remarqua et en tenant son sac au dessus de ses bras, essaya de se frayer un chemin jusqu’à son mentor.

    « Que je suis content de te revoir ‘Mas. » s’exclama l’ancien policier en Allemand.

    « Moi aussi And’ » répondit-il dans sa langue maternel, puis il continua, en anglais d’où l’on percevait un léger accent germanique : « Comment sont les choses sur l’île ? »

    Alors qu’Andreas lui racontait tout ce qu’il avait besoin de savoir, Thomas observait l’île. Rien n’avait vraiment changer depuis sa dernière visite. Il se demanda si Alina avait beaucoup changer. Ils s’écrivaient relativement souvent et c’était parler un peu au téléphone, mais il ne l’avait pas revu depuis quelques années.

    La maison qu’avait acheté Andreas était d’une grandeur tout à fait respectable. Elle se trouvait sur le bord de la plage et la grande cour arrière était magnifiquement entretenu par un jardinier professionnel. La vue, de n’importe quelle fenêtre était tout simplement magnifique. Le jeune homme savait que ses trois semaines de vacance allaient passer très vite. De plus, il avait très hâte de voir Alina depuis qu’il avait prit la décision de lui déclarer son amour. Ce soir là, alors qu’il est en route vers l’endroit où elle habitait avant, il croise la route de Reagan Kovalski qu’il sauve. Interrogé par les policiers du l’endroit, il raconte ce qui s’est passé. Ceux-ci sont très impressionner par sa description du tueur et par ce qu’il a fait. Lorsqu’ils apprennent qu’il est policier en Allemagne, le chef de la Police de Chatam lui offre un poste alléchant.

    « On a besoin de jeune comme vous ici. » s’exclama-t-il.

    « Je vais devoir y réfléchir. Je vous appellerai quand j’aurai prit ma décision. »

    Alors que Thomas et Reagan discutent tranquillement après l’événement, Thomas se rend compte qu’il est le journaliste en chef du Chatam Weekly. Malgré son aversion pour les journalistes trop curieux qui se même toujours de tout, ils deviennent peu à peu ami.

    Il n’oublie tout de même pas Alina et le hasard fait de sorte que quelques jours plus tard, le rédacteur lui présente sa petite amie qui n’est autre que la belle Alina. Malgré sa déception de la savoir en couple, il renoue un peu avec elle, se rendant compte par la même occasion qu’avec le temps, l’amour qu’il ressentait lors de sa première visite de l’île s’était muer en une simple amitié.

    Les trois semaine de vacance se terminait bientôt et Thomas pensait de plus en plus souvent à la proposition du chef de Police. D’un côté, sa famille, ses amis, sa vie se trouvait à Sandershausen. De l’autre, il considérait Andreas un peu comme de la famille, il avait des amis ici aussi et la vie y serait intéressante. L’endroit était tellement merveilleux. Le destin se chargea de prendre la décision à sa place.
    C’était la veille de son départ. Il avait commencé ses bagages presque à reculons. Il lâcha ses préparatifs pour descendre souper. Pour leur dernier souper, Andreas avait fait les choses en grand. Rôti de porc, légumes et vin était de la partie. Alina et Reagan avait été invité et ils s’amusaient tous très bien. Thomas se fit la réflexion qu’il ne s’était jamais sentit aussi bien lorsque soudain, le vieil homme commença à se sentir mal. Après des heures à l’hôpital, la nouvelle tomba ; il avait fait une crise cardiaque. Pour l’instant, il était tirer d’affaire, mais ils allaient tout de même le garder en observation pour la nuit.

    « Pour les prochaines semaines, il ne pourrait pas être seul. Je conseille le repos complet pour au moins un mois. Y a-t-il quelqu’un que l’on pourrais contacter pour s’occuper de lui ? » demanda le médecin

    « Il n’y a personne. Je vais m’occuper de lui. »

    Le lendemain, il appelait son patron, lui disait qu’une urgence le retenait à Chatam et qu’il ne savait pas quand il reviendrait. Il ne précisa pas, intentionnellement, qu’il ne savait pas s’il allait revenir tout cour. Mais voilà que quelque jours plus tard, Andreas ne se réveille pas. Il ne se réveillera jamais plus. Remplis de tristesse, Thomas se soul, fait l’amour avec Alina et regrette intensément ce qui c’est passé. Coucher avec la petite amie de son premier ami sur l’île n’est pas très glorieux, surtout qu’il ne ressent rien de plus que de l’amitié pour elle. Depuis, les choses entre eux sont devenu tendu. Si au début, il décide de rester à Chatam le temps de vendre la maison qu’il a hérité, il décide au bout de quelques offres de rester. Il accepte l’emploie offert et emménage officiellement dans la maison sur la plage.

    Vie actuelle:

    Quelques jours après son emménagement, alors qu’il fait le ménage du grenier, il y trouve une vieille boite bleu. À bout d’effort, il réussit enfin à l’ouvrir. Dans un grincement sinistre, le coffre à jouet dévoile enfin ses secrets. Quelques vieux jouait en bois, un ourson en peluche tout défait ainsi qu’une vieille édition du livre de Shakespeare; La vie et la mort du roi Richard II. En le feuilletant, assis sur une vieil chaise perçante des années 30, il trouve une lettre dont le papier à été jaunis par le temps. À l’endroit où la lettre chiffonner se trouve, une citation à été souligné : « Mourir en combattant, c'est la mort détruisant la mort. Mourir en tremblant, c'est payer servilement à la mort le tribut de sa vie. » La lettre le marque profondément. Il a l’impression de l’avoir écrit. Pourtant, ce n’est pas le cas, puisque la lettre parle de la Première Guerre Mondiale. En fouillant dans le coffre à jouet, il trouve aussi une série de carnet noir. Il en ouvre un, par curiosité. Sur la première page, en lettre un peu enfantine : Ce journal appartient à Roman Rouvmanovski Cohen.

    Au travail, ses capacités au combat font l’admiration de certain et la jalousie des autres. Taï chi chuan, boxe, Ninjitsu et karaté n’ont aucun secret pour lui. Les plus fort souhaites tous se battre contre lui. Les gageures vont bon train. Qui sera celui qui le battra? Peut-être qu’un jour, quelqu’un sera en mesure de le faire. Ne sait-on jamais. Pour l’instant, il reste imbattable. Dans ses amis se trouvent Lynn Parker, une légiste qu’il respecte énormément pour son sens de l’impartialité, Reagan bien sur, qui est le seul journaliste lequel il accepte de collaborer et Patrick Baker, un garde du corps qui est devenu son plus proche ami. Sa vie à Chatam lui plait énormément et il ne regrette pas sa décision d’être resté.
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MessageSujet: Thomas Hölderlin - Fin   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 20:14

Who I Am¤

    5 Traits de caractères

      S'il n'y avait pas d'injustice, on ignorerait jusqu'au nom de la justice. – Héraclite d’Ephèse

      S’il y a quelque chose que Thomas ne supporte pas, c’est bien l’injustice. Que ce soit mineur ou majeur, tout le monde à le droit aux mêmes chances. Un meurtrier est un meurtrier. Un voleur un voleur. Peut importe ses intentions.

      •Heureux et libre est celui qui ose dire non ! – Peter de Genestet

      Dire non. Refuser. Rester chez soi. Des préceptes inconnu à Thomas. Il a besoin de bouger, d’être partout à la fois. Il se retrouve souvent à accepter plusieurs choses en même temps, avec tout les problèmes que cela apporte.

      • La timidité, c'est le masque le plus pratique qui soit. – Raymond Plante

      Chez les jumeau, c’était Elsa qui parlait, parlait, parlait tout le temps. Thomas était plus effacé, sauf lorsqu’il devait défendre sa sœur. Il ne s’ouvre que très difficilement aux autres. Ceux qui le connaissent savent qu’il peut garder un secret.


      •Tout vient à point à qui sait attendre. – Clément Marot

      Rester deux heures dans sa voiture à filer un vendeur de drogue, attendre le bon moment pour agir, pour attaquer, ne dérange pas notre policier. La patience est une vertu qu’il possède et qui lui est bien utile.


      La vie de l'homme dépend de sa volonté ; sans volonté, elle serait abandonnée au hasard. – Confusius

      Lorsqu’il s’agit de son travail, il est très déterminer. Il fonce, sans hésitation. Dans sa vie de tous les jours par contre, il a tendance à se laisser marcher sur les pieds, en partie à cause de sa timidité qui ressort.



    Habitudes:
    Tous les douzième jours du mois, il se rend au cimetière rendre visite à son mentor. Il lui parle, lui raconte sa vie et lorsqu’il revient chez lui, il se sent toujours mieux. Lors de ses jours de congé, il aime bien aller au club de boxe où il donne bénévolement des cours de boxe aux jeunes défavorisés. Tout les lundi, il se rend au centre de tire. Cela le défoule et il repart plus serein.

    Ce qu’il/elle garde toujours dans ses poches:
    • Cette étrange lettre qu’il a l’impression d’avoir écrit. Il l’a trouvé dans une vieille boite avec d’autre truc des années 20-30 alors qu’il faisait le ménage du grenier.
    • Son porte-feuille avec son argent, ses cartes et son badge qu’il n’enlève que s’il doit aller sous couverture.
    • L’ancienne arme de service d’Andreas. Elle faisait partie des choses légués par le vieil homme et Thomas y tient beaucoup.

    Comment il/elle commence et termine sa journée:Lorsqu’il se lève, il aime bien prendre un repas équilibré, fruits, protéines. Bref, tout ce qu’il faut pour bien commencer la journée. Une demi-heure, quarante cinq minutes de course sur le bord de la plage. Puis il termine sa routine par un peu de boxe. Il peut alors aller prendre une douche rapide et se rendre au boulot. Plus épuiser en fin de journée, il aime bien se reposer un peu, prendre cela relaxe. À l’occasion, il aime bien aller prendre une bière au bar.

    Autres choses à savoir:Je crois bien avoir tout dit!

    Célébrité sur l'avatar: Jensen Arckles
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Adrian g. Clarkson
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Loyauté me lie
Adrian g. Clarkson


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Age : 36

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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 20:19

Coucou toi !

Alors, ça, c'est de la fiche ! Magnifique et en plus j'aime beaucoup beaucoup ta vie antérieure !
Je valide évidemment, c'est parfait !

Bienvenue sur Isr, amuses-tu bien parmi nous.
Voici les liens utiles

Demande de relations
Demande de rp
Demande de logement
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Anna Feguson
Adminette
Anna Feguson


Disponible pour un topic? : Oui
Date d'inscription : 30/06/2009
Age : 32

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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 21:38

Hey bienvenu, très jolie fiche !
En espérant que tu te plaise parmi nous ! En passant, j'aime beaucoup ton avatar :)
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Invité
Invité




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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 22:00

Merci!

Pour l'instant, c'est exactement l'ambiance que j'aime dans un RPG alors...
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Lilith A. Killmaster
Chatam's Devil
Admin

Lilith A. Killmaster


Disponible pour un topic? : Non
Date d'inscription : 09/08/2009

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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 22:18

Oh merde un flic, j'suis mal... Racolage, conduite en état d'ivresse, harcelement moral... Ca craint pour les fesses de Lilith !

Bienvenue d'ailleurs ! ^^
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Invité
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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. EmptyLun 24 Aoû - 22:45

Je vais devoir un eoil sur toi alors...

Merci pour le bienvenue!
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MessageSujet: Re: Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité.   Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. Empty

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