Muscle(pv)

_Allez Ryan entrainement!!

Je regarda mon chien.Oui j'avais le don de parler au animaux.Vous avez bien comprit.Par contre je devais être bien certain de ne pas me faire prendre..enfin essayer à cause de tout ce qui se passe dans cette ville.

_Oui Becker je sais merci

Je rigola et une fois arriver à la plage,je portais une casquette noir par en arrière,(mon avatar^^) des shorts blanches billabong pour me baigner et j'étais torse nu.Mon torse était dépourvu de poil.J'étais heureux aussi ,car j'étais un joueur de soccer professionel.Vous savez ceux qu'on voit jouer à la télé? bon bin c'Est ca.Ça me rendais un peut normal..bref ,mais je devais quand même me muscler pour rester en forme.J'Avais fais l'école millitaire avant donc.. J'Arriva torse nu et bronzé et je commenca à m'entrainer.Courrir,push up à une main ,plein de truc.J'étais un peux à l'écard pour pas trop me faire regarder.Aussi pour parler à mon chien.Un berger allemand.D'ailleurs moi et lui on c'était fais amis avec un ours ici.Oui un ours dans la foret de l'île c'est rare! bref. On l'avais nommé louis.Je continua de m'entrainer.Apres un moment j'avais chaud.Je but un peux d'eau.Mon corps et mes muscles brillaient.

Elle voulait profiter du calme que représentaient les premières lueurs du jour pour prendre l’air, courir, faire ce qu’elle avait l’habitude de faire en oubliant qu’elle était dans une ville qui lui semblait hostile et agressive. Elle enfila un short noir et un simple débardeur blanc, attacha ses cheveux en une queue de cheval laissant échapper quelques mèches et autour de ses épaules installa son lecteur MP3. Sa musique dans les oreilles, de bonnes basquets aux pieds, elle quitta son immeuble et se dirigea vers la plage. C’était l’avantage de faire ça, elle réussissait enfin à se vider la tête, à se sentir bien et calme, à se sentir en paix avec elle-même. Ses pas étaient rapides, mais réguliers. Elle était une bonne coureuse, car chez elle, le tout était en pente. Le plat de ces routes lui faisait clairement penser à une des courses les plus faciles qu’elle eut à faire. Surtout, elle voyait la ville d’une autre manière, endormie, calme, vide… C’était tellement plus agréable que d’être enfermée avec tant de gens. Finalement, elle pourrait s’habituer au climat et au paysage… C’était aussi beau, mais d’une toute autre manière…

Elle arriva sur la plage et prit une bouffée d’air frais, arrivée à destination. Elle enleva ses chaussures et s’en alla tremper les pieds dans l’eau, marchant le long de la mer pieds dans l’eau. Elle enleva ses écouteurs, pour profiter du son apaisant de l’eau qui venait et se retirait. Elle voulait aller dans un endroit tranquille et profiter simplement du soliel. Au loin, elle vit un chien courir, et une sorte d’homme qui bougeait… A mesure qu’elle avançait, elle réalisa que l’homme faisait des pompes, mais elle n’eut pas le temps de l’observer, car aussitôt un magnifique berger allemand lui fonça dessus. Elle sourit et s’accroupit pour le recevoir et l’accueillir comme il fallait. Elle n’avait jamais compris comment les gens pouvaient avoir peur des animaux ou alors s’en méfier… Ils étaient si purs. L’homme les corrompait avec ses propres sentiments, les pourrissait alors qu’ils étaient simplement heureux… Elle caressa la tête du chien, après qu’il lui eut senti la main.

« Bonjour toi… A qui appartiens-tu ? »

Elle avait l’habitude de parler aux animaux… Pas qu’elle attendit réellement une réponse, parce qu’après tout, les chiens ne parlent pas. Mais elle avait par contre l’intime conviction qu’ils comprenaient ce que l’homme disait. Elle regarda autour d’elle et la seule personne qu’elle vit, ce fut l’homme aux pompes, qui s’était redressé et buvait à présent de l’eau. Elle dut empêcher sa mâchoire de se décrocher. Malgré elle, malgré le gêne qu’elle ressentait intérieurement, son regard ne pouvait s’empêcher de se détacher de son corps. Elle n’avait jamais vu un homme de sa vie… Enfin si, mais pas comme ça… Et surtout, elle ne sentait pas son corps battre dans sa poitrine à mesure qu’elle observait les contours parfaits de ses muscles. Elle leva quand même le regard vers la tête, pour ne pas avoir cette horrible impression de ne regarder qu’un bout de viande et de soudainement comprendre comment les hommes pouvaient en être réduits à être bouche-bée en la regardant. Et ses mâchoires puissantes… Non, elle devait canaliser ses pensées. Mais ses yeux ne semblaient pas vouloir…

« Wouf »

Le chien aboya, coupant très largement son élan, elle rougit et se releva, tentant de cacher son malaise. Elle y arrivait bien. Elle regarda simplement l’homme face à elle, qui semblait l’avoir remarquée. Devait-elle l’approcher ou alors attendre qu’il vienne ? Dans son hésitation, elle ne bougea pas. Son rougissement avait disparu.