I Shall Remember
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 A kind of Irish Knight.

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Vaughan O'Lochlainn
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MessageSujet: A kind of Irish Knight.   A kind of Irish Knight. EmptyMer 24 Juin - 16:30


Introduce Myself¤




A kind of Irish Knight. 2iaelxy
“I thought of myself as a species of knight errant attacking dragons single-handedly and rescuing musical virtue in distress.”
(c) Virgil Thomson

O'Lochlainn
Vaughan - Badurnn - Siohban
22 ans
Né à Wicklow, Irlande
Propriétaire du Rock'N'Drink




Dernière édition par Vaughan O'Lochlainn le Mer 24 Juin - 16:42, édité 4 fois
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Vaughan O'Lochlainn
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MessageSujet: Re: A kind of Irish Knight.   A kind of Irish Knight. EmptyMer 24 Juin - 16:35


Dead To The World¤




    Qui était-il/elle?!




    Ma chère sœur.




    Je vais mourir. Maintenant j’en suis certain, je sens sa main froide qui glisse sensuellement dans mon dos, et qui s’impose à moi dés que je ferme les yeux, pour me les arracher. Je n’arrive décidément pas à dormir, et la nuit n’est pas bien avancée, je prend donc mon temps pour vous rédiger cette dernière lettre, une lettre d’adieu. Si j’ose dire. Pardonnez mon écriture grossière et maladroite, voilà tellement de temps que je n’ai rien écrit, j’ai bien peur d’avoir perdu l’habitude de tenir une plume.

    Comme notre enfance me semble être hier! Vous et moi, âgés tout deux de 10 ans, ayant échappés à la surveillance des serviteurs de père pour faire une course à cheval dans les montagnes, et ensuite nos parents nous voyaient rentrer, sales comme des esclaves, et nous réprimandaient pour notre attitude, mais nous nous en moquâmes, et on y retournait le lendemain. C’était la plus belle époque de ma vie, et si le seigneur ne m’avait pas envoyer une femme comme nous en tant que sœur jumelle, je n’aurais sûrement pas connu de joies pareilles. Me souvenir de votre visage et de vos effronteries d’enfants m’apaise. Combien de folies vous avons faites à nous deux? Des milliers sans doute, vous avons rendu folles plus d’une de nos gouvernantes, et de nos maîtres de musique. Tiens, venons à ce sujet, j’ai rejoué du violon tout à l’heure, et comme à chaque fois que j’en joue, j’avais l’impression de vous avoir à côté de moi, mais quand j’ai stoppé, il n’y avais que moi, et cette horrible chambre lugubre, en Angleterre. Oh par l‘enfer! Comme je déteste ce pays! Il m’a tout arraché, de ma fierté d’Irlandais, à votre présence, en passant par la vie de la femme que j’aimais. Que dirait mes aïeux vikings en me voyant ainsi, dans une pauvre chambre en train de servir le roi ennemi de ma patrie, et pour mourir demain dans une bataille dont je ne connais ni la cause ni l’enjeu, et ni mon adversaire? Et si je me battais contre mes propres frères? Je me donnerais la mort au lieu d’en toucher un seul. Le choix de ma propre purification, ça, les anglais ne me l’imposeront pas.

    Je me souviens des rites des druides quand nous étions jeunes, de ses hommes, grands et fiers, à la barbe plus sel que poivre qui accomplissaient leur rituels à l’aide de plantes et herbes magiques pour nous purifier et libérer nos âmes de l’emprise de… je ne m’en souviens pas. Vous comme moi nous m’écoutâmes absolument rien de ces choses là, on préférait faire semblant. Ainsi, je n’ai jamais connu grand-chose du folklore celtique, seul ma barbe, mes longs cheveux roux et mes tatouages témoignent de ma culture. Et maintenant que je suis devant le jugement dernier, je me dis que j’ai peut être raté quelque chose d’important. Ça doit être ce qu’on fait avant de mourir: réfléchir sur son passé, se dire ce qu’on a fait et pas fait, et bien, je fais le faire maintenant, et vous en serrez mon unique témoin.

    Je me souviens quand j’ai dû vous quitter pour la première fois, pour rejoindre l’Angleterre et me présenter en temps que soldat anglais. J’ai toujours trouvé ça tellement injuste, nous qui étions pourtant de la noblesse Irlandaise, descendant direct des plus grands vikings, être ainsi déchus de nos titres pour louer allégeance à ses serviles anglais. Je me suis refusé d’y aller, pourtant je n’ai pas eu le choix. On avions 16 ans, et pour la première fois je vous ai dit adieu. Les journées de marches à cheval étaient interminables, à tout instant je me disais que j’allais bientôt faire demi tour, j’avais mon meilleur cheval, je pouvais aisément semer toute mon escorte, mais je signais ainsi l’arrêt de mort de ma famille, alors j’ai continué jusqu’à Londres, et c’est ainsi que j’ai rencontré celle qui allait être mon épouse: Adenora.

    Vous savez ma sœur, vous savez à quel point je l’aimais, et à quel point je l’aime encore. Je me souviens encore de l’ovale parfait de son visage, de ses longs cheveux noirs légèrement bouclés aux reflets bleutés, de ses grands yeux noirs toujours tendres et de ses formes langoureuses accompagnées de sa magnifique peau blanche comme de la craie. Son caractère fort, sa joie de vivre, son amour pour moi et ma musique, faisait d’elle la créature qui pouvait rivaliser avec vous dans mon cœur, et dés que j’ai croisé son regard, c’était une évidence: je voulais passé ma vie avec elle, je voulais être le père de ses enfants, et je voulais l’arracher à l’Angleterre, qui l’avait condamné à vivre ici, comme moi. Qui aurait cru que je puisse rencontrer mon âme sœur dans une terre aussi hostile, dans ce château anglais horrible de clinquant et si terrifiant, et que ça serait une irlandaise également. Je me souviens quand je te l’ai présenté, comment vous vous êtes toutes les deux immédiatement adorés, et notre mariage a eu lieu dans la semaine.

    Et je me souviens aussi comment on me l’a arraché.

    Je n’avais pourtant rien fait contre le peuple anglais, j’avais mener à bien mon devoir là-bas, et suis rentré chez moi avec ma nouvelle femme, comme on me l’avait autorisé. Mais tout ceci n’a duré que deux merveilleux mais si petits mois, à peine nous étions vous et moi sortis faire une balade à cheval, Adenora préférant rester à la maison pour vaquer à ses occupations, que nous voyons que le village est en flamme, rasé par les troupes anglaise, pour une raison que j‘ignore encore et toujours. Personne dans ce damné château n‘a pu me dire la raison pour laquelle on a balayé ma demeure, et égorgé mes semblables. Mon épouse est morte immolée, je l’entend encore hurler mon nom alors qu‘elle brûlait sur place, effrayée et agonisante, ma tentative de la sauvée fut vaine. Je ne m’en suis jamais remis, et nous avons du émigrer en Écosse. Du moins je n’y suis pas resté longtemps, et très rapidement, j’ai été rappelé par l’armée anglais, j’ignore encore comment ils m’ont retrouvé, et me voilà ici. Dans cette chambre plus que modeste, une insulte à mon rang, et prêt à mourir en temps que chevalier. Je me suis toujours conduit en temps que tel, mais les autres n’ont jamais au grand jamais fait un pas vers moi. Toute ma vie d’homme, j’ai été exploité, utilisé, et le seul choix de vie que j’ai fait, rapidement il m’a été retiré. Il ne reste avec moi que mon violon, que je confirais à la servante avec cette lettre, dans l’espoir qu’il vous soi remis. J’ai eu vent que père et mère sont morts, massacrés eux aussi. Et voilà déjà 5 ans que je n’ai pas revu votre visage, mon adorable sœur, sans vous je dépéris. Est-il vrai que vous avez trouvé un fiancé en Écosse, comme me l‘a dit notre messager, et que vous comptez bientôt vous marier? Oh je suis si heureux pour vous! Et en même temps affreusement triste de ne pas pouvoir voir un jour cet homme, et de ne pouvoir assister à votre union. Sachez que même dans la mort mon cœur vous accompagnera.

    Mais j’y suis! Mariage?! Oh ma sœur, je vous en supplie! Renoncer à cette folie! J’ai eu vent d’une dernière loi prise ici, en Angleterre. Une loi répugnante et vile, qui m’a mis le cœur au bord des lèvres. Il a été ici décrété, que dans toute l’Écosse, toute jeune mariée devra passer sa nuit de noce dans le lit du seigneur anglais maître des terres où se déroule la cérémonie. Je prie pour que cette lettre vous parvienne avant que vous ne choisissez la date de votre union, pitié ma sœur: fuyez! Trouvez un autre refuge, ou alors faites vos vœux dans le plus grand secret. Je mourrais tranquille si je sais que vous n’êtes pas la victime de cette décision répugnante et injuste. Je vous promets de faire de mon mieux pour que cette lettre vous parvienne, mais vous savez, j’ai peu d’espoir… J’espère juste qu’on vous aura mise au courant, et que votre vie sera longue et heureuse, même sans votre frère pour veiller sur vous comme un dragon, je sais que vous avez choisit le compagnon qui me remplacera aisément dans cette tâche.

    Le jour se lève. Je suppose que c’est l’heure pour moi de partir. Adieu ma jumelle, sachez que votre frère est mort la tête haute, et se refusera même de vivre en soldat anglais. Honorant ainsi sa patrie d’origine, et au Walhalla, mes ancêtres m’accepteront avec eux.


    Ma chère, si la volonté divine est assez bonne pour nous accorder une nouvelle vie et une nouvelle chance, je fais ici le serment solennel de ne plus jamais vous quitter.


    Vortimer, votre dévoué frère.






    Lettre retrouvée avec un violon brisé et hors d'usage, dans une chambre de servante au sein d’un château d’Angleterre. Le cachet de cire était intact, et le papier comme neuf. Les archéologues sont formels: cette lettre n’est jamais arrivée à destination.




    Ce que lui a apporté sa vie antérieur:

    Une vie entière. Une vie entière à être un esclave, exploité, humilié… il y a bien des choses horribles que Vortimer a vécu dans son ancienne vie qu’il ne fait pas mention dans sa lettre. La fierté vous connaissez? Et que faites vous quand elle est foulée du pied?! Vous vous vengez.
    Inconsciemment, Vaughan se venge oui, et il le fait à merveille. Non pas en détestant les anglais, mais en prenant toute les incitatives le concernant, et concernant parfois sa sœur, et en étant parfaitement conscient de ce qu’il cherche, et sans laisser quiconque se mettre en travers de sa route. Quand Vaughan veut quelque chose, il l’aura, et fait tout en œuvre pour l’avoir. C’est pour cela qu’il est devenu un manipulateur et un embobineur hors paire. N’ayant pas la force physique nécessaire pour se faire entendre, c’est par la parole qu’il sait obtenir ce qu’il cherche. Rien n’a donc été très difficile pour lui.

    Et autre chose, la seule chose que Vortimer eut choisit dans sa vie, était la musique, il l’aimait plus que tout. C’est pour cette raison que Vaughan développa très tôt une grande passion pour la musique, et il a très rapidement su jouer d’une assez large gamme d’instrument: le violon, la guitare, la basse et il lui arrive de chanter aussi, mais il le fait rarement. Par sa musique, il arrive également à influer sur les sentiments des autres, c’est sûrement le fait que personne ne l’a jamais écouté dans son ancienne vie, qui lui donne le don de forcer les autres à l’écouter.

    Ce qu'il/elle pense de la réincarnation:

    « La qu… Ah la réincarnation. Et bien écoutez, c’est pas vraiment ma tasse de thé. Non, rien à voir, j’aime bien tout ce qui est histoire fantastique et tout, je suis né en Irlande après tout. Mais disons que chez les druides, on croit pas en la réincarnation, on croit plus en tout ce qui est « de la poussière à la poussière » quoi. Enfin bon, sinon ouais, ça serait sympa de savoir que je suis la réincarnation d’un truc. Mais je pense que je saurais tout ça une fois mort et enterré hein? J’aime pas aller voir des diseuses de bonnes aventures ou autre, tous des charlatans, la dernière que j’ai vu m’a juré que je serrais déjà marié et millionnaire et regardez moi maintenant! J’ai l’air con de dire ça hein?! Bon assez rigolé, je crois que vous avez trop bu, j’vous appelle un taxi. »




Dernière édition par Vaughan O'Lochlainn le Lun 29 Juin - 20:38, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: A kind of Irish Knight.   A kind of Irish Knight. EmptyMer 24 Juin - 16:39


Born To Be Alive¤


    Enfance&Adolescence:

    « Tout le monde est sensé de préoccuper de sa propre vie et de s’y sentir incroyablement impliqué. Très franchement, moi je la regarde comme je regarderais une série télévisé dans mon salon en buvant une bière. Je me suis toujours senti lointain, en hors du temps, les évènement de ma vie je les choisis sans laisser personne me marcher dessus, pourtant avec le recul, je me sentais de moins en moins concerné parce qui se passait en Irlande autour de moi et ma sœur. C’était une sensation étrange, parfois dérangeante. J’avais l’impression de regarder le même film une seconde fois, mais sans savoir comment il allait se terminer. Je déteste ça.
    Le fait qu’on me dise que je suis quelqu’un qui se préoccupe de tout me laisse d’autant plus perplexe. C’est mon caractère, je n’y peux vraiment rien. J’aimerais parfois jouer l’égoïste ou l’imbécile heureux, ne jamais être au courant de rien et me laisser porter, mais rien à faire, je chasse le naturel, il revient à la charge, me saute à la gorge, et très vite je me rend compte que je ne peux rien y faire. Je n’ai jamais connu quelqu’un d’aussi entêté, et hyperactif que moi, c’est peut être une bonne chose, comme une très mauvaise.
    Quant à mon histoire, elle m’a l’air aussi fade et livide qu’une messe raconté par un cureton endormit et enrhumé. Mais soit, je vais vous la raconter. Elle commence à Wicklow en Irlande, bourgade pas spécialement vétuste, mais pas très moderne non plus. Nous sommes deux à être venus au monde, tout d’abord ma sœur jumelle, Rowan, et puis ensuite moi. Deux adorables poupons à la chevelure flamboyante. Depuis le jour de notre naissance, on s’est jamais quitté, on a eu quelques accrochages, mais ils ont tous durés une ou deux minutes tout au plus. Jamais nous avons quitté Wicklow, et j’ai toujours pensé que nous ne la quitterons jamais. Pourtant le destin en a décidé autrement. Mais soit, c’est beaucoup plus tard, revenons à notre enfance.

    Je me souviens du temps où nous étions gamins, très rapidement nos caractères se voyaient totalement opposés, j’étais une forte tête, et elle une adorable petite. Mais bizarrement ceci ne créa aucun conflit entre nous. Nous étions deux jumeaux, très soudés, et tout le toutim. Je vais pas passer un chapitre entier sur notre relation, sachez juste qu’on ne pouvait pas trouver meilleure entente que la notre. Quoiqu’il en soit, notre enfance se vu être un mélange de légende et musique celte, école primaire rasoir, et black shabbat. Je me suis mis à écouter du Hard Rock par hasard en passant devant une boutique qui en diffuser, depuis j’ai pas cessé de casser les oreilles à tout le monde. Mais mon premier amour reste mon violon que j’ai commencé à étudier à 6 ans, alors que ma sœur s’était dirigé vers la harpe. Pourquoi le violon? Pourquoi la harpe? J’en ai aucune idée. Un beau jour on a dit à nos parents qu’on voulait étudié ces instruments et rien d’autre.

    Le reste n’est que détails stupides, car ce qui a totalement déterminé mon envie d’indépendance, c’est un évènement qui nous ait arrivé quand nous avions environ 12 ans: notre mère est parti avec son amant. Je n’avais pas d’attachement particulier avec mes parents, tous trop distants et aucun des deux n’avaient l’air de vraiment de préoccuper de nous. Quelques voisins, notre vieille nourrice et le patron du pub du coin étaient beaucoup plus inquiets à notre sujet qu’eux, mais on aimait quand même énormément nos parents, et que notre mère s’en aille comme ça sans laisser d’adresse et en nous interdisant de la rejoindre jamais m’a dégoûté au point que le concept de parents fut bientôt pour moi une aberration. Pourquoi de parents? Parce que mon père s’est mis très rapidement à déprimer et à ne plus nous voir du tout. On savait juste qu’il était quelque part dans la maison, mais nous avons du passer 8 bon mois sans le voir. Fort heureusement on avons très vite appris à nous débrouiller sans lui, ni sans notre mère. Mais même si je dis ça sous un ton totalement neutre, le fait d’avoir perdu nos parents de cette façon créa très bientôt un vide en moi et Rowan. Cette dernière devenait de plus en plus renfermée, sauf avec moi qui essayait de la faire sourire.

    Et puis plus tard, notre paternel a eu la très mauvaise idée de se remarier à une espèce de folle. Je n’exagère qu’a peine, le genre religieux extrémiste. Elle a été capable de dire qu’on attirait le mauvais œil avec notre musique. Oui, j’ai toujours remarqué que Rowan et moi étions capable d’agir sur les sentiments des autres avec la musique, mais j’ai toujours mis ça sur le principe qu’on jouait bien, et encore aujourd’hui c’est-ce que je dis. Mais soit, nous ne l’avons pas écouté. D’un autre côté, pris d’un élan d’amour maternel, notre génitrice a tenté de renouer les liens avec nous, ce qui n’était pas compliqué quand on sait qu’on avait pas changé nos numéros de fixe et portable. D’abord j’ai refusé de discuter avec cette femme, mais devant l’insistance de ma jumelle, j’ai finalement succomber. Mais ça n’a pas marché, très vite Rowan et moi nous avons laissé tomber. Et notre mère fut un souvenir lointain. La belle mère par contre elle devenait de plus en plus désagréable, c’est ainsi que j’ai commencé à comprendre que notre vie n’était plus ici. De plus l’état de ma sœur m’inquiétait, toujours, et plus particulièrement quand elle jouait de sa harpe, elle se sentait triste et perdue, et de mon côté, j’étouffais et je me mettais presque à devenir agressif. C’était l’époque où je me suis mis également à écrire, et même la publication de mes nouvelles ne me fit ni chaud ni froid. Notre état était dramatique, et le paternel nous a donc envoyé chez un psychologue, chose qui m’a désespérée d’ailleurs. Mais nous y sommes allé, et voyant que Rowan n’arrivait pas à s’exprimer, je parla en notre nom et plus je développais nos impressions, plus le médecin hochait de la tête, et j’aimais pas ça. Il nous assura que nous faisions une déprime chronique et nous conseilla de finir notre lycée en Irlande pour ensuite étudier dans une île au soleil: Chatham. »

    Vie actuelle:

    « J’étais perplexe, et j’ai réfléchit. Certes, je pensais que le soleil ne m’aiderait pas spécialement, mais l’idée d’être indépendant et loin de ma famille me plaisait, quand à Rowan, elle trouvait que Stanford était ce qu’elle cherchait et dans les deux mois qui suivirent, le lycée achevé, nous sommes partis au large de la Nouvelle-Zélande.
    Et ça s’est très mal passé pour moi.
    Je détestais Stanford, et tout ses psychologues qui nous voyaient comme des animaux de foires, le fait qu’on ne puisse rien faire sans être observé, et toutes ses cachotteries ambiantes. Mon amour des études n’a pas survécu à ça, et malgré les supplications de ma sœur, j’ai quitté mes études ainsi. Mais c’était sans compter que j’avais déjà un projet en vue. Depuis tout jeune j’aimais l’ambiance des pubs irlandais et le patron de celui où je travaillais l’été était un gars très sympa que j’ai longtemps considéré comme un oncle. Il y avait un vieux rad à vendre dans un coin du quartier jeune, et je l’ai appellé pour lui demander des conseils. J’ai dilapidé mes économies dans l’achat et le retapage de cet endroit, me disant qu’au pire si c’était un flop, je pourrais retourner en Irlande le temps de me refaire. J’avais supporter cette vie des années, une paire de mois en plus ne me ferrait rien. Mais j’ai eu une chance de cocu, tant et bien qu’heureusement que j’étais célibataire sinon j’aurais eu un doute. Le Rock’n’Drink fonctionna au delà de mes espérances, et très bientôt, j’eu la satisfaction de gagner ma vie en faisant quelque chose que j’aimais, et je fis rapidement mon trou au milieu de toute la population et les touristes de Chatham. J’avais droit à des critiques positives, et mes connaissances parfaites en matière de bière, mon ouverture pour la musique et le fait que j’arrivais très facilement à mettre n’importe qui dans ma poche me fut d’un secours immense, et qui dure depuis déjà une paire d’année. Je n’ai jamais été du genre vantard, mais là je tiens à me féliciter, moi, ma bonne étoile, et ma sœur qui m’a toujours encouragé et aidé plus souvent que de raison. Aujourd’hui je vois l’avenir en grand, et je suis plutôt optimiste pour la suite. »







Dernière édition par Vaughan O'Lochlainn le Mar 14 Juil - 16:30, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: A kind of Irish Knight.   A kind of Irish Knight. EmptyMer 24 Juin - 16:41


Who I Am¤



    5 Traits de caractères
    Serviable
    Le mot est faible. Au-delà de la serviabilité, Vaughan est totalement dévoué à ses clients et aux personnes qu’il porte dans son cœur. Son ancienne vie ayant déteinte sur son caractère, il a un comportement vraiment chevaleresque, qui fait sa bonne réputation et le bonheur des habitués de son bars qui adorent le patron et le fait qu’il est toujours prêt à se plier en quatre pour aider son prochain, non pas pour se faire voir, mais parce qu’il aime réellement autrui. C’est toujours le premier à aider les grands-mères à traverser, à aider quelqu’un dans le besoin, à donner des pièces aux sans abris qui n’ont pas de chances et a tendre la main au premier venu. On peut donc dire que son métier de patron de bar qui va à merveille. Très rapidement il se fit son trou dans la population de Chatam, et dans sa résidence. Il ignore pas que certains l’ont en horreur, et il n’est pas naïf et sait très bien que quelqu’un comme lui peut aussi bien se faire des ennemis que des amis. Mais il vit très bien la situation, et ne songe jamais à changer son caractère. Mais si avec ses clients il est serviable, adorable avec ses amis, face à sa sœur, c’est une toute autre chanson: c’est son ombre. Comme si il refusait qu’elle soit une seconde dans le besoin et qu’il se sente obligé de veiller sur elle constamment. Rowan ne s’est jamais plainte, bien au contraire, mais son entourage trouve qu’il en fait parfois trop.

    Manipulateur
    Avec une répartie digne des philosophes, et avec un charisme d’orateur très au dessus du commun des mortels, Vaughan est sûrement la personne à qui il faut faire appel si on veut convaincre quelqu’un, mais pas celle qu’on arrivera à convaincre facilement. Le barman sait parfaitement comment obtenir ce qu’il veut, et il sait user de belles paroles pour caresser les gens dans le sens du poil. Les gens se laissent facilement charmer par ses dires et finalement, en entretien, un rendez vous, ou une entrevue avec son banquier n’est jamais très difficile pour lui. En revanche, si il sait comment avoir ce qu’il veut, Vaughan est une personne avec beaucoup de questions, qui ne sait jamais vraiment ce qu’il veut réellement. Pleins d’hésitation et ne sachant jamais quoi faire passer en premier, il aime faire de longues pauses et réfléchir à la bonne attitude à avoir avant de prendre une décision, mais dés qu’il la prit, plus rien ne l’arrête et il obtient toujours ce qu’il souhaite. Et quand il ne sait plus quoi faire pour rallier quelqu’un à sa cause, un petit air de violon arrange toujours tout.

    •Débrouillard

    Si il est totalement dépendant de sa sœur et de toute forme d’affection, d’un autre côté, il est totalement indépendant et n‘a pas froid aux yeux pour assumer toute les responsabilités qu‘inclus d‘être l‘homme de la maison ainsi que le propriétaire d‘un bar. C’est lui qui prend toute les décisions chez les O’Lochlainn depuis des années, et après tout, il a bien monté tout seul l’un des bars les plus branchés. Mais tout simplement à cause des effectifs il s’est décidé à embaucher du monde, et à laisser sa sœur y travailler de temps en temps. Parfaitement autonome et mature, il essaye au maximum de tout gérer par lui-même, même si il croule souvent sous la paperasse et à parfois du mal à s’en sortir devant une situation houleuse. Son envie de prouver son habilité à se sortir de toute situation vient surtout de ses parents, et du fait qu’il n’a pas supporté qu’ils laissent leur deux rejetons derrières eux pour vivre leur vie, alors il a pris le taureau par les cornes et il ne demande plus de l’aide pour gérer sa vie. Car en fait, le jeune homme à beaucoup de fierté, et il n’avouera jamais être dans le besoin ou ne plus savoir que faire, même pas à sa propre jumelle, à laquelle il ne veut surtout pas causer du soucis. En revanche, il est facilement stressée et un rien peu le rendre très très nerveux.

    Affectueux
    On l’a vu se mettre en colère bien souvent, être un peu brusque parfois pour bouger les gens, mais c’est beaucoup plus rare que de le voir sourire. Car oui, Vaughan aime sourire, et surtout c’est une véritable crème. Il n’a pas peur d’être proche des gens et de prendre les plus fragiles sous son aile. Ses proches et ses clients, il les gratifie souvent de mots gentils, de compliments et joue parfois le psychologue de service à son comptoir. Il veille souvent à ce que personne ne vire alcoolique chez lui et prend parfois même les devant en appelant un taxi pour ceux qui sont trop saouls pour prendre le volant ou rentrer à pied. Il a vraiment le cœur sur la main et il ne se gêne pas pour faire savoir à quelqu’un qu’il a son respect et son affection, à noté que ça marche aussi pour l’irrespect et le dégoût. L’irlandais à aussi un préférence pour les petits gestes qui témoignent de son amitié. Comme des accolades, des tapages dans les mains, des petites tapes sur la tête et autres signes anodins mais qu’il aime bien donner à son prochain. C’est sa façon de dire aux gens qu’ils comptent pour lui, même si il n’est pas à court de parole pour exprimer son affection. Un peu trop sensible? Pas assez réservé? Oui c’est exactement ça.


    •Méfiant
    Pour quelqu’un qui aime son prochain, il ne fait malheureusement pas confiance à tout le monde, et on va même dire qu’il fait souvent confiance à sa première impression pour faire rentrer les gens dans son monde, ou pas. Ceux qui tournent autour de sa sœur sont souvent la victime de ses regards noirs et ceux qui provoquent bagarres chez lui ont rarement le droit à une seconde chance. Sauf cas particuliers où il revoit son jugement. Si il est agréable avec tout le monde, il n’est pas parfait et il existe bien des personnes qu’il ne supporte pas, mais il a la décence de le cacher et de rester poli. Mais il possède un certain esprit satirique et quand il estime qu’on dépasse les bornes, il utilise une réplique tranchante pour faire taire son interlocuteur, et souvent ça suffit pour provoquer l’hilarité générale mais pas celle de l’intéressé.



    Habitudes:

    +Il joue du violon en solitaire dés qu’il a un doute, qu’il se sent triste ou alors mélancolique.

    +Ses longs cheveux sont sa plus grande fierté, et c’est pas rare de le voir les tripoter ou les lisser avec ses doigts.

    +Il lève les yeux au ciel dés qu’on lui parle de parents.

    +À chaque fois qu’il rentre dans son bar, il passe un quart d’heure à vérifier la sono et les instruments sur places.

    +Il y a environ toujours 6 livres sur sa table de chevet, qu’il lit en même temps.

    +Il parle avec un très très fort accent Irlandais. Ça surprend parfois les gens.



    Ce qu’il/elle garde toujours dans ses poches:

    Son iphone. Matériel suprême pour toute personnes ne voulant pas s’encombrer à la fois d’un téléphone et d’un appareil à écouter de la musique. Ça lui a coûté une petite fortune, mais il est très satisfait de son achat.
    Son porte feuille. Avec carte de crédit, liquide, papier d’identités et pense bêtes sous forme de petits papiers, pour éviter d’oublier quelque chose.
    Ses clés. Il faut bien ouvrir et fermer la maison et le bar, et pouvoir conduire sa voiture.


    Comment il/elle commence et termine sa journée:

    Déjà, c’est sa sœur qui le réveille, soit à coup de musique, ou à coup de polochon. Ensuite c’est direction la salle de bain pour une bonne demi heure de préparation, le temps de se laver et de se coiffer pour pas ressembler à un zombie. Ensuite il va à la cuisine, pour câliner ses chatons avant de prendre son petit déjeuner, en lisant son journal, et il finit sa matinée en fumant une cigarette au balcon en écoutant sa sœur jouer de la harpe avant de partir à la fac. Puis il part au travail.

    Avant de dormir après avoir regarder les informations à la télé, il écoute de la musique en prenant un bain brûlant. Une fois au lit il bouquine une bonne heure, voir plus et finalement éteint la lumière.


    Autres choses à savoir:

    +Lui et sa sœur possède deux chatons depuis 2 mois, un roux et un blanc. Le premier s’appelle Thor, et l’autre (une femelle) Skadi. Si il crie sur tout les toits que c’est sa sœur qui a insister pour les avoir, il les adore.

    +Son look vestimentaire peut assez surprendre. Mais c’est un metalleux, donc il s’habille en noir, c’est logique.

    +Personne, même pas lui, ne sait comment sa sœur peut être parfaitement petite mais bien formée et lui grand et maigre comme un clou.

    +Il rêve d’être écrivain, et écrit assez souvent mais n’ose pas le montre aux autres. Il a déjà publié un recueil de nouvelles sur les légendes irlandaises d’ailleurs.

    +En revanche il est incapable d’écrire une chanson.

    +Il adore les tatouages, il en a un sur le poignet, un géant dans le dos et sur les omoplates. Les deux représentes des signes celtiques de bonnes santé et d'energie.

    +Il deteste la barbe, ça le chatouille trop.

    +Il a une peau très blanche et extremement fragile, le moindre coup de soleil le rend cramoisie et malade comme un chien. C'est pour cela qu'il veille à mettre de la crême solaire, une casquette et de rester à l'ombre d'un arbre à la plage quand il est pas dans l'eau.

    +Normalement il doit porter des lunettes mais il trouve que c'est hideux et que ça lui fait "une tête de con" alors il préfere les lentilles, en attendant de pouvoir se faire opérer au laser.

    +Il a un sommeil lourd. Très lourd. Quand on le réveille il ne faut pas y aller avec douceur.

    + Il est un peu narcissique sur les bord. Disons qu'il s'estime et n'est pas du genre à faire de la fausse modestie quand il sait qu'il est bon dans un domaine, pour lui c'est ridicule.



    Célébrité sur l'avatar: Juha Kylmänen. Parce que tu peux pas test. A kind of Irish Knight. 498932
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