[Professeur] Erwin Orion FINIIIIE

Introduce Myself¤

" Ma philosophie ne m'a rien apporté mais m'a beaucoup épargné. A.Schopenhauer.]

Nom:Orion Prénom: Erwin Âge: 22 ans Nationalité: Autrichienne Fonction dans l‘établissement: Maître du leurre Ascendance: Tisseur de rêve ou humain? Tisseur de rêve

Born to be alive¤

Enfance&Adolescence:

Une chose est sur, je ne suis pas né seul. Et sans doute que cela à joué sur mon caractère. Quand j'ai vu le jour, un autre garçon venait de pousser son premier cris avant moi. Ce garçon c'était Rufus, mon frère jumeau, âgé de tout juste de quelques minutes en plus que moi.
Je suis né à 18h30, un 27 décembre, celui de l'année 1970. Et même si seulement quelques minutes nous séparent, elles ont fait toutes la différences.
Croyez vous en l'astrologie? Si oui, sachez que Rufus est moi n'avons pas le même ascendant. Si lui est Capricorne ascendant Cancer, je suis pour ma part ascendant Lion, et selon les astrologues ( ma mère adore l'astrologie), cela induira une importante différence de caractère. Il ne s'y sont pas trompé. J'ai toujours été un garçon noble et fier, qui montrait difficilement son affection, pour mes parents et aussi envers mon frère qui en a beaucoup souffert. Rufus est un garçon bien plus sensible que moi et il avait besoin de ma présence à ses côtés.

J'ai grandis entouré de mon frère et de ma soeur ainée, Elizabeth. En qui je me retrouvais beaucoup. Une fille à la fois rigoureuse et tendre avec nous deux. Nous étions très unis tous les trois à la grande joie de nos parents. A l'école, j'étais premier de classe. Mes parents avaient décidé de ne pas nous mettre ensemble dans le même établissement moi et Rufus afin de ne pas éveiller de rivalité entre nous, ils me connaissaient relativement ambitieux et ils savaient qu'inconsciemment j'aurais pu en vouloir à mon frère pour tout ça.
Nous sommes donc tous deux projetés au sommet de nos collèges respectifs. Déjà considéré comme des prodiges par tous nos établissements. Je suis comblé de voir que même nos parents nous regarde avec fierté.

Elisabeth est convoquée à C.I.E.L, c'est le moment que choisissent nos parents pour nous parler de nos origines. Nous sommes issus des tisseurs de rêves, nous ne sommes pas vraiment humain en soit bien qu'il n'y a plus de grandes différences entre nous et les humains normaux, si ce n'est que notre statut nous permet d'accéder à la plus grande université du monde et aussi à la plus prestigieuse. Le C.I.E.L. Nous écoutons attentivement, elle a été construite par les tisseurs pour protéger les deux mondes et ceux qui y résident veille à ce que la limite entre ceux ci ne soit jamais brisé. L'intérêt grandit en mois et je trépigne d'impatience d'y aller, au contraire de Rufus.
Craintif de nature, mon frère enfant n'a jamais été pour les changements, l'idée qu'Elisabeth s'en aille, le fait qu'un jour nous devrons partir aussi lui met le blues et notre lien déjà fort s'en vois encore renforcé. Même si Rufus est quelques minutes plus âgé que moi, j'ai toujours été l'équivalent d'un grand frère pour lui. Plein d'idéaux, rêveur et parfois trop naïve il pouvait facilement se faire abuser quand il était enfant, aussi je veillais à ce que cela n'arrive jamais et je vous avoue m'en être plutôt bien tiré. Quand j'y pense, je crois avoir réussit à lui enseigner l'art de la méfiance dés l'âge de quatorze an. Depuis beaucoup de choses on changé. Je regrette l'enfant que j'étais, l'enfant protecteur envers son frère et aimant envers sa famille. Aujourd'hui, je les aime toujours autant mais d'une manière totalement différente, j'ai peur de les voir souffrir comme ont souffert mes anciens amis, je tente tant bien que mal à les préservés et j'ai souvent la sensation d'y être incapable.

Parcours scolaire:
Mon parcours scolaire? Il n'est pas si long que ça quant on y pense. Mon frère et moi avons toujours été des surdoués. Nous n'avons jamais été en maternelle et donc nous avons gagné trois ans d'écolage à cause de ça. En primaire, nous progressions bien mais tout de même avec une difficulté ardue de s'adapter aux autres. C'est arrivé au collège que nous avons commencé devenir ce que nous sommes aujourd'hui: des étudiants brillants. Après avoir sauté plusieurs classes nous nous sommes retrouvés en terminal à l'âge de quatorze ans et à C.I.E.L l'année qui a suivie.

1985, est l'année à laquelle j'entre à C.I.E.L, avec des parents médecins c'était fort prévisible de me voir m'inscrire dans la faculté de mes aînés. Et de fait, je m'inscris en première année de psychologie. Enfant encore chaleureux je me fais de nombreux amis dans toutes les facultés. Je suis repéré pour mon intelligence aux examens de Noël et surtout, surtout, je rencontre l'homme qui changera à jamais ma vie. Eurysté Rainfall.
Mon premier cours de maîtrise du leurre fut un fiasco, mais apparemment moins catastrophique que ceux de mes collègues car j'ai attiré l'attention de cet homme cruel qui octroyait un cours dans des conditions austères. Après de rudes épreuves il finit par me convoquer à son bureau et me propose une offre en or. Être son apprenti.
Devenir maître du leurre c'est un prestige fabuleux. Un des plus important confident et conseiller du Directeur mais aussi son allié le plus fidèle. C'est aussi maitriser l'art des rêves de A à Z et l'appliquer même dans le monde réel. C'est aussi la contrainte de l'enseigner à des incapables ( et il y en a beaucoup), et d'éviter de leur donner trop d'armes qui risquerait de se tourner contre nous.
Je n'ai pas le choix, j'accepte, car Eurysté est un homme insistant, et face aux injonctions de sa part et à celle du Directeur Mael je deviens son apprenti.
Les temps sont rudes, c'est un fait, mais rien ne sera plus rude que l'enseignement que je reçois de lui. Froid, violence morale et physique, souffrance, crainte, haine, rancœur sont des mots qui n'ont plus de secret pour moi. A côté de ça, je poursuis mes études de médecine tant bien que mal, parvenant toujours à me hisser en première place du classement étudiant. Très vite, Eurysté n'apprécie pas que je sois entouré d'ami, d'un groupe. Il estime qu'un maître du leurre doit se préparer à une vie austère et pleine de sacrifice par la solitude, il me met à l'épreuve et décide de voir comment je réagira si du jour au lendemain mes amis me tournait le dos, et ainsi, je me suis retrouvé seul au monde.

J'ai tout de suite su qui en était le responsable, le jour où je suis arrivé face à mon meilleur ami et que ce dernier m'a soutenu qu'il ne m'avait jamais vu de sa vie, j'ai accusé Eurysté directement. La rage était bien trop forte pour que je puisse l'exprimer et tout ce que j'ai pu faire à ce moment précis, c'est m'isoler, seul, comme il eut toujours souhaité que je sois.
Mon grand réconfort, je l'ai trouvé dans la seule personne qui me restait: Mon frère jumeaux, qui - j'ignore par quel miracle- avait réussit à échapper au leurre de mon maitre et à me soutenir avec autant d'intensité. Oui, sans Rufus je serais sans doute bien pire que je ne le suis aujourd'hui, j'ai méprisé Eurysté à travers les gens, car je sais qu'Eurysté était bien plus humain qu'il ne s'en vantait et je sais que ce qu'il m'a fait subir n'était que pur plaisir pour son esprit malsain. La confiance était une chose que j'avais définitivement perdue si bien envers mon maître, qu'envers ses semblables; les êtres humains.

1988

Le drame, enfin, pas vraiment, tout dépends de quel côté vous vous mettez, soit vous êtes de ceux qui, comme le Directeur on été terrassé par la nouvelle. Soit, vous êtes comme moi et le drame à glisser sur vous pour finalement sombrer à jamais dans l'oubli. Nous sommes au mois de Janvier 1988. Depuis quelques mois, je sens mon maître faible, bien plus faible qu'il ne le fut auparavant. Le leurre le ronge chaque jour un peu plus et il perds du poids chaque jour qui passe. Plus capable de tenir une tasse sans trembler, mes leçons de leurre se transforme en discussion sombre et lourde entre un homme et son apprenti sur lequel il repose tout ses espoirs. Ses cheveux étaient déjà gris malgré son jeune âge, ses traits étaient rudes et saillants. Si je ne le connaissait pas si bien jamais je n'aurais pu le reconnaître. Ses yeux autrefois bruns étaient délavés et je sentais l'homme toujours tiraillé par la faim du rêve, par le maux de tête du manque qui le poussait chaque jour à s'enfuir un peu plus dans la souffrance et par extension dans la mort.

Eurysté était faible, il vivait avec ses médicaments, ceux qu'il disait miracles et qui finalement étaient malheurs, transformé en pantin, soumis à l'addiction de ses deux vices, il n'était plus rien et réaliser qu'il n'était plus rien était pour lui pire que la mort. Quelques jours avant sa mort, il demande à me voir et sans un mot j'obéis, comme à chaque fois lorsqu'il m'ordonnait quelque chose. Ce soir là, Eurysté n'avait à peine la force que pour se lever et boire de l'eau, rien de plus pour un homme que j'ai connu agile et fort. Il est fiévreux, non pas à cause d'une infection, mais car il se bat contre sa maladie, la pire de toute: Il se bat contre lui même, contre son âme qui réclame toujours plus et le corps qui n'arrive plus à suivre. Son combat, l'unique qu'il du mener de toute sa vie, il le perdait devant moi.
Je le vois encore, sa voix rauque, son regard vide auquel il essayait tant bien que mal de donner vie, il me parle, me dit que c'est terminé et qu'il ne pu jamais espérer meilleur élève, que si il avait perdu face au leurre, il avait au moins la satisfaction de laisser derrière lui un brillant futur maître du leurre. Et moi? Je l'écoute sans bronché, sa gentillesse me touche sans doute, mais je met ses propos sur le dos d'une fièvre trop lourde à supporter. Enfin, il m'empoigne faiblement le col de ma veste et m'attire à lui, me soufflant à l'oreille de protéger le directeur, car cela était mon devoir, que je devais y faire face et surtout rester fidèle en la personne d'Abel Mael. J'ai hoché la tête et j'ai promis sans vraiment promettre.

C'est trois jours plus tard que la nouvelle tomba: Eurystée Rainfall, maître du leurre, était décédé. Me laissant son rôle. Et ainsi, devenais-je le plus jeune maître du leurre de l'histoire de C.I.E.L. J'avais 18 ans, et ma scolarité en tant qu'étudiant, s'achève deux ans après, avec un doctorat en psychologie.

Comment est-il/elle entré à CIEL?

Je suis entré à C.I.E.L comme tous le monde, à l'exception que, contrairement à tout le monde, je n'en suis jamais ressortit. C'était il y a sept ans, à l'époque je soufflait mes quinze bougies avec mon frère jumeau. Mais aussi, j'approchais de la fin de ma scolarité normale. De plus en plus Rufus et moi étions devenu insistant auprès de nos parents pour passer le concours d'entré de C.I.E.L. Une épreuve qui se passe au mois d'Aout dans l'enceinte de l'école et qui regroupe tout les candidats potentiels à la première année. Testant leurs culture générale mais surtout leurs compétences face à l'option spécifique qu'ils choisiraient si ils étaient accepté.

Ce fut dure de convaincre notre mère, elle avait toujours été protectrice avec nous, autant qu'avec ma soeur, mais elle savait - comme elle l'avait su pour Elizabeth- que tout ça était une fatalité, et elle ainsi que notre père nous donnèrent l'accord de partir passer l'examen durant le mois d'aout. Stressés au maximum, mes parents ne virent ni moi ni Rufus de tout le mois de juillet. Quand finalement heure H était venue, l'angoisse était à son comble. Traversant les sinueux couloirs de l'établissement nous furent séparés Rufus et moi en deux grands auditoires, les principaux j'imagine, dans lesquels nous allions passer notre examen.

C'est trois semaines plus tard que nous reçûmes les résultats: nous étions acceptés. Et à cet instant nous sûmes tout deux que notre vie allait changer. Mais nous ne sachions encore à quel point.
Désormais, je suis enseignant à C.I.E.L, mieux que ça même, maître du leurre. Je ne retourne vivre hors de l'établissement que pendant les grandes vacances lorsque celles-ci me le permettent. Mais au fond, la vie ici n'est pas si terrible qu'on ne pourrait le croire. Et souvent je suis triste de quitter l'établissement.

Who I Am¤

5 Traits de caractères

• Froid
Je l'ai toujours été, mais bien plus depuis qu'Eurysté m'a affligé sa pratique cruelle. Désormais il est rare que je montre mon enthousiasme ou ma joie, ou que j'adresse la parole à quelqu'un de mon propre chef. En tout cas en public. Il paraît même que j'intimide beaucoup, mais ça c'est à vérifier. Je n'aime pas les gens trop expansifs et je me conforte dans ma distance vis à vis des autres, car après tout, nul ne sait ce qu'ils me réservent.

• Secret

J'ai appris une chose avec mon maître: Moins on en dit, moins on en montre et plus la vie est simple et sans encombre. Je fais des rimes? Possible, mais sachez le. C.I.E.L est une jungle et il faut souvent apprendre à y faire sa place. Ceux qui parle sans réfléchir, ceux qui dévoile leurs faiblesses seront rapidement mis sur le tapis, évincé ou pire, assassiné. Aussi je préfère me taire, et même paraître amorphe et impassible. Pour eux, pour la masse, je suis un mur sans sentiment et sans expression, c'est parfait comme ça.

• Sarcastique

Là aussi je l'ai toujours été, mais désormais je lie mon point de caractère ( v. en dessous) le plus flagrant avec celui là. Cela donne des réflexions toujours plus piquantes et méchantes vis à vis de tous, sans même me soucier de blesser ou non l'individu à qui je les proclame. Qu'importe. Si la personne est assez stupide pour se faire décourager ainsi c'est très drôle.

• Ambitieux

C'est un fait, il est rare de nos jours de voir un jeune de 15 ans crier haut et fort qu'il veut devenir docteur en psychologie. C'était mon but en arrivant à C.I.E.L, et je l'ai surpassé de loin. Non seulement je fus celui qui eut à chaque année la plus grande distinction de la promo, mais je suis aussi devenus maître du leurre. Rôle extrêmement prisé par les résidents de C.I.E.L. J'ai toujours eu de l'ambition et ce dés la maternelle si je peux dire. Je sais que ce trait contribue à mon sale caractère, autant que la fierté, mais je ne le rejette pas pour autant. Au contraire, je le cultive.

• Exigeant

Et pas qu'envers moi, aussi envers mes élèves et mes collègues. Mais surtout envers mes étudiants. Mon exigence se traduit par tout les traits de caractères précédemment cité réunit en un seul, avec une dose de sarcasme en plus. Je suis méchant, même sadique diront certains, mais cela n'est que la preuve de mon envie de les faire avancer. J'use de la méchanceté et de la cruauté à ces fins uniquement et non, contrairement à mon défunt maître, par pur plaisir personnel. Je veux le meilleur de mes élèves car j'ai donné le meilleur de moi même pour être à ce poste et aussi, surtout même, pour éviter la " sélection naturelle" qu'applique Abel Mael.

Habitudes:

Mon caractère en général me rends unique, je suis crains et méprisé par beaucoup. Mais soit, parlons de mes habitudes. La pire que j'ai se trouve dans mon regard. La fâcheuse manie de regarder les gens de haut à cause de ma taille. Je fais un mètre 95. C'est rarement voulu, sauf face à mes étudiants, ça les stresse encore plus.
Sinon, je déteste le café, ce n'est pas une habitude à proprement parlé mais cela me pousse à consommé du thé à la salle des professeurs.

Ce dont il/elle ne peut pas se passer:

J'aime m'isoler de longues heures dans la tour de Leurre, ou dans mes appartements. La solitude m'apaise et me calme, mais surtout m'évite de penser à des choses futiles et inintéressantes.

Que penses-il/elle du directeur? :
Je ne peux hélas pas me prononcer sur lui, simplement car en tant que maître du leurre je n'en ai absolument pas le droit. Je suis son serviteur, comme il est écrit dans la loi de C.I.E.L depuis sa création. Un maitre du leurre doit toujours assister et soutenir son directeur en toutes circonstances, voir essayer de le raisonner si ses décisions lui semblent farfelues, mais jamais il ne doit s'opposer à lui.

Certes, nous avons dans l'histoire l'exemple de Sôma Hans qui a assassiné son directeur pour le renverser. Mais tous ici savent comment cela s'est fini. Il s'est fait lui même assassiné par son propre frère trop ambitieux qui finalement s'est fait renversé par la Directrice Olivia.
Nous ne sommes pas là pour parler d'histoire, hélas, je ne peux vous dire que je m'oppose au directeur, mais je sais que mon frère file du mauvais coton et je m'en inquiète, même si je comprends son raisonnement je ne souhaite pas le voir sur l'échafaud dans les prochains mois.
Toute fois, je peux quand même vous souffler que je ne suis pas souvent, voir même rarement, en accord avec les pratique du Directeur.

C'est tout.

Comment il/elle réagit si il/elle découvre une tâche d’encre sur ses vêtements avant un rendez-vous important? :
Cela dépend des circonstances. Seul, j'en rirais. Ou cela m'énerverait un peu si c'est après une journée éreintante. Sinon, si cela arrive en public et pire même, si c'est un coup monté des élèves, dans ce cas, je suis prêt à leur faire vivre un véritable enfer. Retenues nocturnes, exercices dans le parc, voir même une touche de leurre dans leurs têtes suffiront à leurs faire regretter l'acte qu'ils auront commis. Même si je déteste avoir recours à cette action sadique il faut bien admettre que parfois je n'ai pas trop le choix. Enfin, soit, dans tout les cas je serais obligé de changer de chemise, en espérant que ça ne soit pas ma plus cher.

Autres trucs à savoir:

+ Célibataire endurcit, j'ai du mal avec la gente féminine, pourtant elle n'a pas de problème avec moi. Le leurre sans doute me pousse à ne pas m'attacher à l'une d'entre elle. Mais qui sait, peut être un jour. Celle là sera certainement une femme suffisamment forte pour que je puisse l'aimer sans craindre un jour de la faire souffrir.

+Protecteur: Avec mon frère, et par extension je n'aime pas sa copine Ophélia. Et encore moins les amies de cette dernières qui tentent de m'approcher à longueur de temps.

Célébrité sur l'avatar: Robert Pattinson

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Bienvenu môssieur le prooofesseur !
Je n'ai que la modeste fonction de t'assigner ton rang et ton groupe, ainsi que de te créer ton bureau. Aussi je m'en chargerais lorsque ta fiche sera validée. Même si personnellement je n'y vois aucune objection.

Si tu savais... C'est le grand 'fantasme' de CIEL 2009 de connaître le tyran Erwin lors de CIEL 1992... Quel honneur tu nous fais d'être des nôtres ici, et surtout que c'est aimable à toi de bien vouloir assouvir notre soif de curiosité ! xD

Amuses toi bien !! =D

Citation :

Si tu savais... C'est le grand 'fantasme' de CIEL 2009 de connaître le tyran Erwin lors de CIEL 1992... Quel honneur tu nous fais d'être des nôtres ici, et surtout que c'est aimable à toi de bien vouloir assouvir notre soif de curiosité ! xD

Ne me fais pas regretter d'être là toi
Votre curiosité? Et qu'est-ce qu'elle vous demande votre curiosité mesdemoiselles?

Faith n'est pas curieuse de ça, n'est aucune crainte... Par contre je serais vous, môssieur je me méfierais de Toskiane la tornade ! ^^ *héhé*
Dans tous les cas, j'ai ouïe dire, que les demoiselles de CIEL étaient avides de savoir laquelle allée être votre prétendante. Les paris ont été lancés... Je ne vous dirais pas où j'ai mis mes économies, ne me lançant pas dans la partie, mais je vous conseil fortement de faire attention aux demoiselles qui rougissent lorsqu'elles croisent votre regard !! =)

Bien sûr que je te valide, ta fiche est belle Wiwi =D
Hâte de Rpayasser en cours avec touah !

Bienvenue à vous, collègue.