Visite Surprise [Teiva]

_« Visite Surprise »_

_« Samedi 10h05 »_

Les rayons du soleil pénétrèrent dans ma chambre. Je soupirais et m'étirais. Rien de plus agréable que d'être réveillé par les rayons du soleil. En me réveillant je fus bousculé par tout un tas de sentiment, d'envie, d'idée, enfin tout en tas de truc vint se bousculé dans ma tête. Je me levais et allais déjeuné tout en pensant à ça. Et comme tout les jours depuis notre dernière rencontre avec Teiva, je pensais à lui. Est-ce qu'il me manquais ? Oui certainement. Est-ce que j'avais envie de le voir ? Sans hésitais oui. Mais c'est dernier temps avec le boulot tout était si compliqué et le temps me manquais tellement. Soudain une petite ampoule s'éclaira au dessus de ma tête. Aujourd'hui je n'avais rien à faire à part ce soir allais au Rock'n Drink. Mais la journée commençais à peine. Alors je décidais de passé chez lui. Nous vivions dans la même résidence alors autant en profité. Mais je fus couper dans mon élan pour monté dans la chambre m'habillais par, est-ce qu'il sera là ? Peut être allais-je le dérangé ? Je continuais à monté tout en pensé à cela. Je n'avais pas envie de le dérangé ni m'imposais. Mais j'avais tellement envie de le voir, oui tellement envie. Je montais me mettre un short en jean et un débardeur blanc, je me maquillé de eye-liner noir et d'un léger far à paupière. Je mis un collier fantaisie autour du cou assez long. Et une père de chaussure à talon blanche, dans mon armoire je n'avais que cela. Des chaussures à talons. J'en achetais toujours ,ne me demandais pas pourquoi, je revenais toujours avec une paire de chaussure à talons. Je sortis de chez moi. Et partit en direction de son studio.

_« Samedi 11h45 »_

J'arrivais devant sa porte et j'eus un instant d'hésitation. Non pas que je ne veuille pas le voir. Mais parce que j'avais peur de le réveiller ou qu'il ne soit pas là. C'est vrai j'aurais pu téléphoné mais je voulais venir et lui faire donc une surprise. Je levais mon poing et toquais trois coups à la porte. Maintenant impossible de reculé. Tel une adolescente timide qui va voir son "copain", je tanguais sur mes deux pieds, nerveuse et existé, stressé mais heureuse de pouvoir le voir. J'entendis du bruit derrière la porte. Là mon cœur commençant à battre la chamade. Ce n'était pas ma faute, la première fois que je l'ai vue sur le plage, je peut dire oui que j'ai eu le coup de foudre. Je ne savais pas si de son côté c'était exactement les même sentiment. Mais je l'espère oui car l'espoir fait vivre. J'entendis les verrous de la porte.

Teiva avait été réveillé tôt par la lueur du matin qui s'était immiscée à travers la fenêtre. La veille, il avait oublié de tirer les rideaux. Sans doute par étourderie étant donné sa fatigue et son chamboulement à la suite de sa vue de Century au Lake Huro... Il préférait ne plus penser à ce quiproquo et à se faufiler dans son lit! C'est à 6h36, d'après l'indication de son réveil digital Sony, qu'il avait ouvert un oeil. Il avait ainsi décidé d'aller faire un tour de vélo. Dix minutes après il partait l'estomac vide pour mieux taper dans les graisses et après deux heures de randonnée, il était rentré chez lui, en sueur, avait fait une bonne demie heure de musculation et était allé sous la douche. Il avait enfilé un polo noir avec un pantalon en jean et s'était rasé que les joues. Aujourd'hui, il voulait avoir un petit bouc. Ensuite, il avait pris un bon petit déjeuné équilibré avec cinq fruits comme le préconise les tonnes de publicités à la télévision. Après, il était allé bricoler sur sa planche de surf, il l'avait lissée, chouchoutée, de nouveau prête à affronter les vagues qui, ces temps-ci, étaient violentes et de toute beauté! Ce matin, il n'avait pas chômé et avait décidé u'en début d'après midi, il appelerait sa petite amie pour essayer de la voir. L'heure du repas approchait et il avait déjà tout sorti, il décida de se faire un thé à la framboise avant de commencer à se préparer le repas. Alors qu'il le buvait dans la cuisine à regarder par la fenêtre, pensif, il entendit trois coups.

Spoiler:

Trois coups sur la porte. Pourtant, il n'attendait pas de visite...

Alors qu'il relevait la tête de la poignée pour regarder le visage de son visiteur, il remarqua les divines jambes de la personne. Une chose était sure, c'est que ce n'était pas un homme ! Enfin, il l'espérait! Elle avait n short court. Un peu plus au-dessus, c'était un haut blanc, ce qui faisait resortir son teint bronzé. Il vit ensuite le visage d'Helena. Les grands esprits se rencontrent dis donc! Il lacha sa main gauche de la porte et s'avanca d'un pas vers elle, sourire aux lèvres tout en lui disant, tu es ravissante! Il lui avait délicatement posé ses mains sur ses hanches, et l'avait embrassée tendrement dans le cou avant d'atteindre sa bouche. Il lui sourit de nouveau et ajouta, je voulais venir te voir cet après-midi. Mais ta visite surprise me fait très plaisir! Tu es toujours aussi sublime. Il lui passa une main dans les cheveux et l'embrassa de nouveau. Il lui prit la main droite et tendit l'autre bras vers l'intérieur de son studio en lui proposant, on rentre?

_« Le baiser est la plus sûre façon de se taire en disant tout. »_

Quand il ouvrit la porte un grand sourire s'étira sur mes lèvres. Il paraissait tout aussi heureux que moi de me voir. Il lâcha la poignée de la porte et s'avança vers moi tout souriant et me dis "tu es ravissante". Pourtant je n'avais pas fait grand chose, je murmurais un "merci".Il avait posé ses mains sur mes hanches et m'avait embrassé tendrement d'abord dans le cou pour finir sur mes lèvres. Je lui rendis son baissé , ça m'avais manqué. Il sourit de nouveau et rajouta "je voulais venir te voir cet après-midi. Mais ta visite surprise me fait très plaisir! Tu es toujours aussi sublime. ". Alors j'étais contente que cela lui fasse plaisir. Comme quoi parfois tout est question de Destin, lui aussi voulait venir me voir cette après-midi. Je restais sans rien dire mais souriante à souhait. J'étais à cet instant la plus heureuse des femmes. Il passa sa main dans mes cheveux et m'embrassa de nouveau. Je lui rendis une fois de plus son baiser. Il me pris la main et me dis " on rentre?". S'il voulait. Toute manière on allait pas resté sur la pas de la porte. Je souris encore plus et hochais la tête tout en rentrant. Il ferma la porte derrière lui. Je lui tenais toujours la main et je dis.

<< Tu me manqué et en me levant ce matin j'ai voulus te voir. Je ne te dérange pas j'espère ? Et tu as un très jolie studio. >>

C'était la première fois que j'entrais chez lui. Alors la moindre des choses c'est de dire que c'était jolie et puis c'était la vérité. Et pour la question, je la posais continuellement. Toujours peur de dérangé. C'était automatique. J'étais souriante et tout sur mon visage montrais que j'étais heureuse. Je me rapprochas de lui et déposa un autre baisser sur ses lèvres. Les premiers c'était lui qui avait fait le premier pas. Cette fois c'était moi. J'avais du me mettre sur la pointe des pieds car comparé à lui j'étais toute petite. Je reposas les pieds à terre et souris.

Merci du compliment! Il ferma la porte, pour la déco je me suis plutôt inspiré de ma culture néo-zélandaise en y mêlant une pure touche américaine grâce à mon ancien boulot. Il lui sourit et s'avança auprès d'elle. Il posa à nouveau ses mains sur ses hanches, puis, tout en lui mettant délicatement quelques cheveux derrière l'oreille droite, il lui susura toi aussi tu m'as manqué... Toute la matinée je n'ai pas arrêté de penser à la chaleur de tes baisers et au réconfort de tes bras, que tu m'apportes! Ainsi, il l'embrassa. Il se décala légérement et tout en lui tenant la main, il se dirigea vers la cuisine, assieds toi, je t'en prie. Il lui désigna le canapé. Tu veux boire ou manger quelque chose Hel'? Il ne savait pas pourquoi il l'avait appelée comme ça, mais c'était dit! Surnom instinctif qui lui était venu à la bouche, et il n'avait pas pu s'empêcher de le dire. Un peu comme quand on dit un secret à un enfant, qui vous regarde avec ses yeux insistants qui ne signifient rien d'autre que "moi je sais et pi pas toi!" Voulant alors à tout prix qu'on lui pose la question, tu n'as rien à me dire?... Bref, Teiva était déjà dans le lieu qu'il préférait le plus chez lui, où il se rendit compte que son thé était froid et qu'il n'avait toujours pas fait son repas... Il s'enquit alors, dis, j'ai pas encore mangé et il ne reste qu'à préparer, tu veux manger avec moi? Il fit dépasser sa tête de par un mur, pour voir où Helena était et ce qu'elle faisait. Il se sentait d'humeur et de sentiments à l'avoir auprès de lui. Il était prêt à répondre à toutes ses questions, à se plier en quater pour elle, pourvu d'une chose, qu'il puisse la serrer dans ses bras et sentir ses lèvres sur les siennes!

Avec plaisir. A condition que je t'aide à faire le repas. Tu veut bien ?

Alors qu'il était en train de mettre de l'eau à chauffe, Helena était venue le rejoindre dans la cuisine. Adossé au plan de travail, elle l'avait embrassé, devant ainsi se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre ses lèvres. Cela faisait plutôt sourire Teiva. Les dés de jambon et les champignons étaient en train de décongeler à côté de la plaque de cuisson, il avait déjà découpé des oeufs qu'il avait mis dans une assiette creuse. Pour la crème fraîche, il la rajouterait vers la fin! C'était meilleur! Il avait l'impression de conserver sa saveur! Les spaghetti étaient prêtes à être versées une fois l'eau rentrée en ébullition, soit, à 100°C! Effectivement, Teiva se souvenait de son cours de physique-chimie durant lequel il n'avait pas dû dormir pour une fois! Il réentend M. Lacaps dire de son ton solennel et en regardant au-dessus de ses lunettes: "La pression de l'air est équivalent à 1013 hPa, par conséquent, une eau entre en ébullition lorsqu'elle atteint 100°C. Plus la pression de l'air diminuera, plus la température d'ébullition sera moindre!" C'est cela oui!! Eh bien, Teiva s'en préoccupait bien peu, il se contentait juste d'attendre de voir les bulles pour y mettre les pâtes ou le riz! et basta! Mon Dieu, qu'il détestait cette matière là, avec ce prof là qui pus est! Bref, il décida d'installer Helena à un endroit duquel elle pourrait l'embrasser sans craindre une déchirrure de la plante des pieds à force de devoir se surrélever pour lui! Il la prit parle bassin, délicatement en essayant de ne pas lui enfoncer une côte, la leva et la déposa sur le plan de travail! Avec un léger reflet du soleil dessus, on voyait légérement les marques du lavage matinal de Teiva dessus! Bon, elle n'était toujours pas plus grande mais il ne restait que quelques centimètes de différence, parce que pour dépasser une perche de 1m96... Teiva l'embrassa de nouveau, puis en fit de même dans son cou. Il sentri son parfum... Hum... Un délice... Avec son index et son majeur, il saisit la bretelle gauche du débardeur d'Helena et la fit glisser doucement le long de son épaule. Il descendit ensuite ses lèvres vers cette épaule, puis posa ses deux mains à plat de part et d'autre de petite amie. Il la regarda ensuite dans les yeux, toujours aussi profonds et sincères, et lui avoua, je suis bien avec toi. Il lui sourit timidement. Il n'avait plus l'habitude de dire ce genre de chose, mais quand il le disait, c'est qu'il sentait quelque chose de différent, de nouveau, avec la personne à ses côtés.

" Je ne suis bien qu'avec toi. Tu me rend heureuse Teiva. Je t'aime. ".

Elle avait osé le dire. Teiva, lui, avait encore beaucoup de difficulté à prononcer ces deux mots... Que ce soit avec Emily auparavant ou avec Helena maintenant... Il ne savait pas pourquoi d'ailleurs, il avait tant de peine à les prononcer, parce que ce ne sont pas des mots bien difficiles! Mais bon, elle, elle lui avait. Elle lui avait dit! Il en était dingue! Fou dont la façon elle le regardait, fou de sentir chacun de ses baisers donnant toujours plus de forme au monde qui l'entoure, fou de la regarder marcher remarquant ses hanches aller légérement de gauche à droite puis de droite à gauche, fou de la délicatesse qu'elle avait de mettre ses cheveux derrière les oreilles, fou d'elle! Il prit les mains de sa dulcinée et les posa sur lui, jusque là, elle n'avait pas osé le faire. Après avoir fait ceci, il garda sa main droite sur le siège innové d'Helena et avec l'autre main, il fit pareil que précédemment. Il fit glisser son aute bretelle délicatement, et l'embrassa de nouveau. Il avait eu un léger frisson pendant ce temps, étant donné qu'une des mains de la londonienne avait glissée sur son ventre. Teiva sentait toujours des chatouilles quand on touchait ses abdominaux... Il avait sourit et mordillait la lèvre inférieure d'Helena. Il aimait bien faire ça, ça faisait languir sa prétendante! Alors qu'il continuait de l'embrasser, il lui passa la main gauche dans le dos, sous son débardeur blanc. Elle avait la peau douce... Il l'effleurait du bout des doigts. Il était bien là, et lança alors, moi aussi Hel'... Il l'embrassa. Quand je me couches je suis triste de ne plus t'avoir à mes côtés... Il l'embrassa sur le bout du nez. Et quand je me lève, je n'ai qu'une hâte, c'est d'être à tes côtés. Il l'embrassa sur le front. Tu veux dormir là ce soir? Il la regarda timidement, ne sachant pas si elle allait dire oui ou non. Peut-être que ça allait un peu vite...

"moi aussi Hel'...".

" Quand je me couches je suis triste de ne plus t'avoir à mes côtés... "

"Et quand je me lève, je n'ai qu'une hâte, c'est d'être à tes côtés "

"Tu veux dormir là ce soir? ".

Désolé... Mon ventre à décidé de faire des effets sonores. C'est pas très très romantique. Désolé.

Teiva avait remarqué qu'elle se laissait faire. Peut-ête aimait-elle ce moment. En tous les cas, elle n'avait pas répondu à sa question au sujet de la nuit à passer chez lui, et il ne préférait ne pas la relancer, de peur qu'elle voulait éviter le sujet auparavant. Il avait pourtant envie de lui dire qu'il voulait voir à nue les formes si divinement bien faites et apercevables à travers ses vêtements... Sans nécessairement passer à l'acte, il voulait pouvoir effleurer du bout des doigts cette peau si douce. Ses songes s'interrompirent lorsque le ventre d'Helena cria famine. Le néo-zélandais avait suivi sa petite amie dans le fou rire. Il s'était reculé d'elle et avait pris appui sur le comptoir pour rigoler. Une fois qu'il réussi à se calmer, il se mit face à la londonienne, mais toujours à la distance qu'il avait prise auparavant. Il se passa la main droite sous son polo pour la déposer sur sa ceinture abdominale et y presser un petit point de côté tout en expirant correctement, hop ! A plus mal! Mais Teiva garda sa main là où elle était. Il attendait de voir ce qu'Helena allait faire. Il avait envie qu'elle vienne et lui enlève son T-shirt, mais il avait peur qu'elle voit quelques-unes de ses cicatrices. C'est vrai qu'il est habitué à être en maillot de bain, torse nu. Mais quand il n'a pas sa combinaise de surf, les clients ne demandent pas comment il a ces marques ou autre, la plupart du temps, ils ne prêtent même pas attention! Mais avec Helena, c'est sur qu'elle serait amenée à les voir de plus près... Quoiqu'il en soit, il la regardait de haut en bas. Elle avait toujours les bretelles descendues, c'est donc qu'il ne l'avait pas offensé et qu'elle avait plutôt apprécié. Ses mains ne paraissaient pas crispées. Et ses jambes, n'en parlons pas! Des mots ne suffiraient pas à les décrire! Il faut les voir... L'ex agent du FBI attendait toujours. Patiemment. Il attendait.

C'est d'accord pour ce soir. Je veut bien.

Je ne veut qu'une chose c'est être auprès de toi.. Teiva. M'endormir auprès de toi, me réveiller auprès de toi.

Lorsqu'elle lui prit les mains, il se rendit compte qu'elles étaient froides. La réponse d'Helena lui donna l'impression de se réchauffer un peu plus. Alors, il les mis sous son polo, avec son autre main, à les réchauffer. Il avait hâte d'être à ce soir! Il ne cherchait pas à "passer à l'acte", mais il voulait passer un moment d'intimité avec elle. Se retrouver, après tant d'absences. Donner tant d'amour. Oui, il avait envie d'être allongé dans son lit 200X200, grandeur oblige étant donné sa taille, à sentir le corps d'Helena se blottir contre le sien, à pouvoir l'embrasser, raconter des moments de leur vie, remettre sa mèche derrière ses oreilles, caresser ses épaules jusqu'au bras... Il rêvait de cet instant se voulant tendre mais à la fois pudique. Après l'avoir écoutée il rétorqua, j'aime quand tu dis les pensées qui te passent par la tête mais avec toujours cette grande sincérité fleur bleue que je te connais. Il lui sourit et l'embrassa sur le front. Il lui semblait qu'elle avait froid... Il lui dit alors, tu as froid? Tu veux faire quelque chose de particulier? Teiva ne voulait pas qu'elle attrape froid, il attendait d'elle qu'elle demande un pull, ou à se blottir contre lui, ou aller se faufiler sous la couette (non, bande de pervers décadants, ne pensaient pas à cela!) juste pour pouvoir l'étreindre encore plus et à ne rien faire. Le néo-zélandais aimait l'action, et détestait ne rien faire. Mais accompagné de sa petite amie, que se fut avec Emily ou maintenant avec Helena, il aimait avoir des moments posés, tranquilles, à être qu'à deux et à ne penser qu'à chacun! Toujours au même endroit, pour ce coup ci, c'était Helena qui l'avait rejoint après leur fou rire, Teiva attendait sa réponse et remarqua que l'eau ne chauffait pas vraiment. En réalité, la gazinière n'était pas allumée... Il se tut.

"J'aime quand tu dis les pensées qui te passent par la tête mais avec toujours cette grande sincérité fleur bleue que je te connais.".

"Tu as froid? Tu veux faire quelque chose de particulier?".

Oui j'ai un peu froid. Et tout se que je veux c'est être auprès de toi.

Et toi qu'aimerais-tu faire en particulier ?

Là, contre lui.
Il était bien, à la sentir comme ça, contre lui. Il aimait l'odeur de ses cheveux, l'odeur de son parfum. Les deux étaient différents en fait, mais... complémentaires! Il aurait aussi dit... envoûtants...! De ses souvenirs, ils n'avaient jamais été aussi prôches l'un l'autre... Il sentait son coeur battre en symbiose avec le sien! Ca lui faisait penser aux films américains, avec les personnages qui ont des étoiles dans les yeux à ce moment là! Il espérait qu'avec lui elle soit bien. Et le fait qu'elle lui dise, le rassurait quelque part... En réalité, Teiva aimait entendre les choses dites, et parfois répétées! Ainsi, elle lui demandait ce qu'il voulait faire... Il avait l'intention de lui dire, sans lui laisser sous-entendre ce qu'elle ne voulait pas faire. En restant, doux, romantique. Il commença, j'ai envie d'être avec toi aussi. Il lui sourit. Là, maintenant, tout de suite, je ne veux faire qu'une chose, me plier à tes exigences. Il lui passa une main sur la joue. Tu veux t'engouffrer sous la couette au chaud, à parler de tout et de rien? Allons dans le lit! Tu veux regarder un film tranquillement, genre comédie musicale ou à l'eau de rose? Allons sur le canapé! Au final, tu as quand même faim? Allons à table! Tu as envie de plus avec moi? Allons où tu veux! Il s'avoua que la dernière proposition allait sans doute lui déplaire mais, il fallait bien que se fut dit! Dans un couple, il faut bien en parler non? C'est alors qu'il la prit du bras droit au niveau du cou, puis de son autre bras, derrière les genoux, et ajouta, j'écoute mademoiselle! Il lui sourit à nouveau et l'embrassa sur la bouche cette fois. De ce baiser long et intense, qu'elle lui avait donné tout à l'heure et qu'il lui rendait maintenant, alors qu'elle était dans ses bras... Comme un enfant que l'on berce. Comme un soldat que l'on protège. Comme une femme que l'on porte de toutes ses forces. Mais avec elles, ce qui donne la force, est l'amour!

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"J'ai envie d'être avec toi aussi.Là, maintenant, tout de suite, je ne veux faire qu'une chose, me plier à tes exigences.".

"Tu veux t'engouffrer sous la couette au chaud, à parler de tout et de rien? Allons dans le lit! Tu veux regarder un film tranquillement, genre comédie musicale ou à l'eau de rose? Allons sur le canapé! Au final, tu as quand même faim? Allons à table! Tu as envie de plus avec moi? Allons où tu veux!".

Si on regarde un film à l'eau de rose je vais pleuré. Alors a part si tu veux me voir pleuré devant un film. Allons sur le canapé, et je me blottirais contre toi et nous parlerons. Tu veux bien ?

Bien, mademoiselle avait parlé! Mademoiselle allait être servie! Toujours dans ses bras, il l'emmena dans le salon. Il la déposa délicatement sur le canapé. Il l'embrassa sur le front, le nez puis sur la bouche. Il la regardait maintenant dans les yeux, et se rendit compte que sa main, était bien posée sur le fessier d'Helena. Il l'ôta de suite, se mordit les lèvres pour s'excuser, puis se leva. Bon, Alors, en film à l'eau de rose, j'avais Just like heaven, c'est l'adaptation cinématographique du livre de Marc Levy, Et si c'était vrai. Mais comme je suis un gentil garçon et que je ne veux pas te voir pleurer... Il s'agenouilla afin d'être à sa hauteur. Je vais... te... proposer autre chose... Il était long à parler. En réalité, il était de plus en plus omnibulé par elle. Il se rendait compte au fur et à mesure, qu'il était chanceux de l'avoir, d'être à ses côtés! Il continua, je peux te proposer du Nanni Moretti, j'ai commencé une collection de ses films il y moins de cinq ans je crois... J'aime beaucoup parce que c'est un des rares cinéastes cinéphiles... Ce que je veux dire par là, c'est que c'est un des rares, en faisant son film, à avoir d'autres films déjà réalisés en tête... tu vois? Enfin, bon! Il lui sourit, resta là où il était, accoudé au canapé. C'était une bonne place après tout! Il dit ensuite, je ne sais pas si tu veux des western, d'ailleurs, j'ai aussi des western spaghetti... Ou si tu préféres, j'ai des comédies, des comédies musicales aussi... Enfin, dis moi et j'en prends un au hasard, parce que si je commence à parler cinéma, tu ne m'arrêtes plus! Il rit et attendait qu'elle lui définisse un genre... Il prit appui sur ses pieds et s'avança, déposa un baiser sur ses lèvres. Il mit sa main droite dans les cheveux d'Helena, en les lui mettant un peu plus derrière son visage. Il aimait faire ça. D'une part parce que c'était délicat et d'une autre part parce qu'il aimait la façon dont était dessiné son visage... et le dégager ainsi par moment lui faisait plaisir! Dans ce moment de tendresse et d'intimité, il attendait sa réponse. Quoique lèvres contre lèvres, il était difficile de parler! Il se recula alors. Pas d'un kilomètre non plus, mais assez pour qu'elle puisse prononcer ses mots!

« Bon, Alors, en film à l'eau de rose, j'avais Just like heaven, c'est l'adaptation cinématographique du livre de Marc Levy, Et si c'était vrai. Mais comme je suis un gentil garçon et que je ne veux pas te voir pleurer.. Je vais... te... proposer autre chose.. »

« je peux te proposer du Nanni Moretti, j'ai commencé une collection de ses films il y moins de cinq ans je crois... J'aime beaucoup parce que c'est un des rares cinéastes cinéphiles... Ce que je veux dire par là, c'est que c'est un des rares, en faisant son film, à avoir d'autres films déjà réalisés en tête... tu vois? Enfin, bon! »

« je ne sais pas si tu veux des western, d'ailleurs, j'ai aussi des western spaghetti... Ou si tu préféres, j'ai des comédies, des comédies musicales aussi... Enfin, dis moi et j'en prends un au hasard, parce que si je commence à parler cinéma, tu ne m'arrêtes plus ».

Finalement je ne veut pas regarder de film. J'aimerais autre chose.. Teiva.. Autre chose que tu m'as proposè...

Des regards ne trompent jamais dit-on.... Et bien, pour ce coup, Teiva donnait raison à ce dire! Il n'était pas de nature trop brutale ni même rapide avec les femmes. En général, c'était elles qui décidaient! Les propos qu'Helena avait tenu et les yeux qu'elle jetait sur lui ne trompait pas. Bien entendu, Teiva voulait qu'elle se souvienne de ce jour. Il ne voulait pas rester dans le canapé. Il lui dit alors, avec un sourire voulant lui dire qu'il partageait ce moment avec elle, ça tombe bien, nous n'avions plus de pop-corn pour le cinéma madame... Il rit, l'embrassa et la prit dans ses bras comme il l'avait déposée. En compensation, nous vous offrons un voyage... Il commença la route. Il traversa le salon, rejoignit l'ouverture de la cuisine mais tourna à droit à la petite plante et ainsi, emprunta l'escalier helocoïdal qui menait sur un petit palier, où Teiva y avait accroché toutes ses récompenses sportives et professionnelles, et ouvrit ensuite la porte avec son pied. Pendant le trajet, il n'avait dit mot. Tellement concentré à ne pas la faire tomber ni qu'elle se prenne un mur dans la tête ou se coince les cheveux entre les marches! Parce que l'on a beau dire, tous ces petits incidents pas vraiment courant, peuvent arriver et le romantisme est bien comme il faut: détruit! (en un mot je vous prie!) Une fois dans sa chambre refaite récemment, il déposa Helena sur son lit 200X200 (pour pouvoir y mettre ses petits pieds de 46!), Et se mit à genou sur son matelas. Il ôta son T-shirt et...

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On avait donc finis dans son lit. Confortable au passage. Pour moi c'était quelque chose de nouveau, quelque chose que je n'avais jamais expérimenté. Et Teiva était le premier. Je ne savais pas si je devais le dire. J'avais toujours été une fille discrète. J'ai jamais eu de petit ami. Alors faire ça était nouveau, et je devais avouer que pour quelque chose de nouveau je pensais mettre bien débrouiller. A présent, j'étais dans ses bras et je le regardais, et lui souris et me décida à dire dans un murmure.

Tu étais le premier Teiva..

Puis je posais mes doigts sur les marques qu'il avait. Je me demandais où il l'est avait eu. Oui j'étais bien curieuse, je sais. Mais tout cela m'intriguer. J'avais le droit de demander non ? Je crois que je pouvais savoir. Alors encore avec un sourire éclatant je demandais.

Où tu t'est fais toute ces marque

Je le regardais comme désolé de posé la question. Peut être n'avait-il pas envie d'en parler. Je ne savais pas. C'est pour cela que dans mes yeux et mes sourires on pouvais lire qu'il n'était pas obligé de répondre. Qu'il pouvait faire ce qu'il voulait. Puis je cherchais ses lèvres et y déposais un baiser , accompagner d'un 'Je t'aime". En attendant sa réponse. Oui je l'aimais et j'étais heureuse de l'avoir fait avec lui.

Ainsi, elle était encore chaste... Teiva était étonné étant donné qu'elle était si belle et douce! Comment un homme avait pu passer à côté d'elle?! Il était heureux d'être le premier bien entendu, et espérait que si elle avait déjà eu des petits amis, qu'il n'y ait rien eu de tenté si elle ne voulait pas... Il ne posa pas cette question et se contenta de dire, je suis heureux de savoir que c'est moi Hel'. J'espère que ça était... je ne veux pas te paraitre rapide, ou quoique ce soit... C'est pour ça que quand il y a quelque chose qui ne va pas, tu peux me le dire sans crainte! Il lui sourit et l'embrassa.
Le drap les recouvrait et il aimait comment la londonienne était installée par rapport à lui. Il pouvait déviner la forme de son flanc gauche. D'ailleurs, il trouvait ses hanches à croquer! Sans vouloir reprendre la chanson de Olivia Ruiz, cela va de soi! Il était bien, là, à ses côtés. Bon, de là où elle était, elle l'empêchait de voir le drapeau de son pays natal auquel il tenait tant, mais Teiva préférait sans doute la vue de sa petite amie! C'est vrai que le visage d'une femme revient plus facilement que le visage d'un pays! Helena avait posé cette question qu'il appréhendait. D'un ton nostalgique, montrant sa sensibilité mais se voulant rassurant du fait qu'elle ne devait pas s'en vouloir d'avoir demandé ceci, il lui répondit ainsi, je t'avais dit que.... que j'avais fait des années dans l'armée? Parmi toutes les traces que tu vois sur moi, il y en a du fait des entrainements militaires ou des combats. Et puis, après j'ai été dans le FBI. Il me semble t'en avoir parlé aussi, mais vaguement toujours... Teiva parlait lentement, cherchant ses mots, et essayant de contrôler ses émotions. A ce moment de l'explication, il détourna la tête d'Helena, non pas que sa vue le gênait, mais plutôt par respect car il ne voulait pas la regarder dans les yeux pour lui narrer ce tournant de sa vie. Il avait trop peur de lire en elle ce qu'elle pouvait penser et il ne voulait pas. C'était une confidence qu'il lui faisait et comme tout secret, on ne dit généralement pas ce que l'on en pense! Il regarda alors son mur à droite, sur lequel était affiché sa géographie. En gros, c'était tous les coins où il était allé. Bref, il continua, mais, la plus grande marque, celle que tu vois là, il montra son cou où sa peau était plus claire au niveau de la cicatrice qui devait bien mesurer cinq ou six centimètres c'était au cours d'une mission. J'ai protégé un collègue et je me suis pris la balle. Il s'arrêta là, évasif, parlant au masculin pour "collègue". Non pas qu'il avait honte de dire que c'était une femme mais pour lui, comme pour Robert ou son pote Larousse, collègue est un nom masculin! Il se tourna ensuite vers elle. Celle qu'il aimait. Celle qu'il avait rencontrée sur la plage. Celle qui lui avait fait connaître à nouveau l'amour! Il l'embrassa tendrement et termina par un... Voilà! Il lui lança un sourire

Je suis heureux de savoir que c'est moi Hel'. J'espère que ça était... je ne veux pas te paraitre rapide, ou quoique ce soit... C'est pour ça que quand il y a quelque chose qui ne va pas, tu peux me le dire sans crainte!".

"Je t'avais dit que.... que j'avais fait des années dans l'armée? Parmi toutes les traces que tu vois sur moi, il y en a du fait des entrainements militaires ou des combats. Et puis, après j'ai été dans le FBI. Il me semble t'en avoir parlé aussi, mais vaguement toujours..".

"Mais, la plus grande marque, celle que tu vois là"

"C'était au cours d'une mission. J'ai protégé un collègue et je me suis pris la balle"

Merci de me l'avoir dit.. Et merci pour tout Teiva...

Et oui ça à été. C'était parfait.

Teiva se voyait rassuré de ce qu'Helena venait de lui dire... Il avait envie de lui faire plaisir, ils n'avaient toujours pas mangé et le néo-zélandais devait se l'admettre, ça commençait à creuser là-dedans! Il est vrai que même s'il était parti faire son sport à jeun et qu'après il avait mangé, son réveil digital affichait maintenant 14h06. Croquer Helena ne suffisait pas à assouvir sa faim! Il voulait ~~du sang moouhahaha!!!~~ une bone assiette remplie! Il avait envie de... de salade! Non, ne le prenez pas pour une femme qui dit "Ma petite salade... Hum.... Tu manges pas tes frites?", c'est-à-dire une femme que Florence Foresti décrivait très bien et avec humour dans ses sketchs! Le prof de surf sortit du lit, enfila un boxer blanc puis se posa une main sur le ventre pour éviter qu'il ne gargouille! Il se mit face au lit, regardant Helena allongé sur le drap un peu doré, et son maquillage autour des yeux lui faisant resortir la beauté de ceux-ci! En réalité, la tête du lit n'était pas contre le mur, mais à l'opposé! Pour se l'avouer, il ne voulait pas dormir comme ça parce qu'il avait peur qu'un cadre ne tombe sur sa tête durant son sommeil... Ainsi, debout, il avait juste à baisser la tête pour parler à Helena, et elle, à regarder en l'air pour l'écouter.

Spoiler:

Il s'enquit ensuite, j'ai une faim de loup! Dites moi Mlle Katleen... il se baissa, de sorte à être pile au-dessus de sa tête. Il l'embrassa et ajouta, un... Il avait du mal à résister à la candeur et grandeur de ses yeux. Si elle eut été muette, ils auraient été sa parole! Il s'accroupit et, dans cette position, il y avait croisement des têtes, c'est-à-dire qu'il avait en premier le front de la serveuse au lieu de sa bouche. Il l'embrassa de nouveau, fit glisser ses mains le long du corps d'Helena, un restaurant avec... Il se mordit les lèvres. Après le chemin que ses mains venaient de faire, il saisit celles de la divine femme qui était dans son lit. Un restaurant avec votre dévoué et... Il se leva, comme il arrive souvent après un certain temps accroupi, un de ses genoux craqua mais il ne sentit rien. Il se mit comme il était avant, soit, au-dessus d'elle, comme se mettrait un chirurgien sur une table d'opération. Ici, pas de bistouri bien entendu! Il dégagea le drap qui la recouvrait tel un sushi. Oui, bon, la comparaison n'était peut-être pas appropriée mais c'était la seule façon de se l'imaginer... On aurait pu dire, tel un Odel Paso, ou comme une tranche de jambon avec du boursin dedans... Elle était enveloppée quoi ! Il se pencha et, tout en serrant ses mains dans les siennes, déposa un baiser au niveau de son cou, puis descendit au niveau de sa poitrine, pour terminer sur son ventre. Ce petit ventre plat qu'il espérait ne pas voir grossir de plus en plus pendant neuf mois. Non pas qu'il ne voulait être père, au contraire, il adorait les enfants! Mais, il se sentait encore un peu trop jeune et pas vraiment encore stable pour endosser ce rôle... Et puis, il fallait aussi attendre que de l'eau ait coulé sous les ponts avant de faire un enfant avec Helena. Pour lui, quatre ans était un minimu d'attente! Peut-être qu'il était trop prudent, long, platonique, mais au moins, il était certain d'être sûr de son choix quand [i] cette [i]décision devait être prise. Un enfant se conçoit en une fois (pour les bons travailleurs) certes! Mais on l'attend neuf mois et après c'est pour toute une vie qu'on l'a auprès de nous. Avec des jours de sourires et d'autres de larmes... Bref, après l'avoir embrassé, il rapprocha sa tête de celle de la londonienne et lui murmura, avec votre dévoué et tendre amant qui vous aime, vous tenterait-il mademoiselle? Il fit glisser sa joue sur la sienne pour atteindre son oreille et lui susurer... Cela va de soi que par 'amant', j'entends 'amour'... Il lui mordit l'oreille.

Ohh que oui.. Monsieur, qu'un restaurant, serait très tentant en votre compagnie, tant apprécier, et indispensable.

Ou veux-tu aller manger ??

Helena se laissait faire, Teiva était bien à ses côtés... Ainsi, elle ne savait pas où elle voulait aller manger... Il proposa alors, que dirais-tu de l'algue qui pleure? Je l'ai découvert en bar il n'y a pas longtemps, mais je ne sais pas s'ils servent... Teiva avait faim, à vrai dire, peu lui importait ce que l'on allait bien pouvoir lui donner, tant que c'était mangeable! Alors qu'il attendait la réponse d'Helena quant au choix du restaurant, il enfila le jean qui se trouvait sur le cintre accroché à son armoire. Il saisit un pull rouge au hasard, sans ne rien mettre en dessous. Il passa la tête par le trou et vit de nouveau sa compagne. Il ne put résister et l'embrassa. Il renchérit, au restaurant, j'aimerais te parler de quelque chose... Il passa une main dans ses cheveux, lui sourit, se rapprocha, il n'y a rien de grave, ne t'en fais pas. Il fit ainsi un clin d'oeil, lui déposa un baiser dans le cou puis sur ses lèvres, je voulais juste te prévenir, pour pas que je n'oublie... Parce que me connaissant...! Il rit, leva les yeux au ciel et posa ses mains sur les hanches d'Helena. Je voulais te dire que tu me parais plus belle que lorsque je t'ai vue. Je dois aussi t'avouer que sur la plage, la petite tenue que tu avais et qui ne pouvait résister face au vent, t'allait à merveille! Il la prit dans ses bras, l'embrassa de nouveau et la fixa dans les yeux, d'un air profond et sincère, ce jour là, tu t'es fait désirer. Aujourd'hui tu es plus que désirable, je t'ai, je t'aime et je ne veux pas te perdre...

» Holigahino. My name is... Teiva [END]
» Falta Teiva ???
» Simple visite de courtoisie ? [PV]
» Mais... Mais c'est Holiii ! [PV Teiva]
» Tient tient tient, une visite qui tombe bien.. || Rose Palmer & Hugo D. Griveaud